Auguste, de son vrai nom Octave, est le fils d'un notable romain et de la nièce de Jules César, lequel en a fait son fils adoptif faute d'héritier direct. Il a seulement 19 ans à la mort de celui-ci, en 44 av. J.-C.. Il va user de toutes les ressources de son esprit rusé pour éliminer ses rivaux et ses propres alliés et assurer sur Rome et ses immenses possessions un pouvoir sans partage.
L'historien romain Suétone (Vie des douze Césars) présente le futur empereur comme un beau jeune homme à la santé fragile, mais aussi retors et brutal, quelque peu pervers, pleutre sur le champ de bataille, cruel à l'égard des vaincus (note). Ces accusations ont une part de vérité si l'on en croit son biographe Pierre Cosme (Auguste, Perrin, 2005).
Quoi qu'il en soit, Octave témoigne dès ses jeunes années d'une habileté politique qui lui permet de l'emporter sur de fortes personnalités, des hommes mûrs et des guerriers tels que Brutus, Marc Antoine et Cicéron, au terme de quinze années de guerres civiles. Après la défaite de Marc Antoine et de sa maîtresse Cléopâtre à Actium et Alexandrie d'Égypte, Octave peut célébrer à Rome, le 15 août 29 avant J.-C., le triomphe dû à un général vainqueur, même si tout le mérite de la victoire revient à son fidèle ami Agrippa.
Son long principat, jusqu'à sa mort en pleine gloire, le 19 août 14, va fonder l'empire romain et consacrer la puissance et le renom de Rome...
De la République au principat
Né le 23 septembre de l'an 63 av. J.-C. sur le mont Palatin, quartier aristocratique de Rome, Octave est le fils de Gaius Octavus, préteur en Macédoine. C'est un « homme nouveau », autrement dit un représentant de la bourgoisie équestre en pleine ascension sociale. Sa mère Atia a elle-même pour mère une soeur de Jules César. Elle appartient à la famille patricienne des julii. Outre Octave, Gaius et Atia ont aussi eu une fille, Octavie.
Comme tout Romain bien né, le jeune homme va faire ses humanités en Grèce, en l'occurrence à Apollonie d'Illyrie. C'est là qu'il apprend de sa mère l'assassinat de son grand-oncle puis, dans un message ultérieur, sa désignation comme héritier ! Il est jeune, de santé fragile, n'a pas de partisans ni d'armée mais seulement quelques amis fidèles et habiles : Agrippa, Mécène, Rufus.
Il doit affronter d'une part les assassins de César, guidés par les sénateurs Brutus et Cassius ainsi que Sextus Pompée, commandant de la flotte ; d'autre part Marc Antoine, un solide quadragénaire qui a pour lui le prestige militaire. Il est assisté de Lépide, le maître de la cavalerie de César.
Le jeune homme, qui se fait désormais appeler Caius Julius César mais que l'on appelle aussi Octavien, va devoir jouer serré. Il obtient au Sénat le soutien de Cicéron et soigne sa popularité en distribuant les biens de César.
Avec l'aide financière de Mécène, il lève des légions et se fait attribuer illégalement par le Sénat un commandement militaire, l'imperium proconsulare.
Les légions de Marc Antoine et Octave s'affrontent sous les murs de Modène le 21 avril 43 av. J.-C.. Le premier est défait et aussitôt déclaré ennemi public par le Sénat.
Octave profite de son avantage et, nonobstant sa jeunesse, réclame rien moins que le consulat, stade suprême de la carrière des honneurs. Pour appuyer ses prétentions, il marche sur Rome et rallie à lui les trois légions que le Sénat lui oppose. Dans la curie où les sénateurs tentent encore de résister à Octave, un centurion montre son glaive : « Si vous ne le faites pas consul, celui-ci s'en chargera ! ». Voilà Octave consul à 20 ans, le 9 août 43 av. J.-C. !
Le jeune intrépide juge sa situation malgré tout fragile et choisit de négocier avec le parti césarien. C'est ainsi qu'Octave, Marc Antoine et Lépide font alliance à Bologne le 11 novembre 43 avant J.-C. et forment un second triumvirat, à l'imitation de celui qui avait rapproché très provisoirement Pompée, César et Crassus 17 ans plus tôt.
Ils proscrivent les républicains prétendument coupables d'avoir comploté contre César, y compris Cicéron, puis se lancent à la poursuite de Brutus et Cassius. La bataille décisive a lieu à Philippes, en Grèce. Elle est gagnée haut la main par Marc Antoine, Octave s'étant fait porter pâle au moment crucial.
Les triumvirs renouvellent leur alliance à Brindes (aujourd'hui Brindisi), en octobre 40 avant J.-C., et se partagent le monde romain. À Marc Antoine l'Orient, à Octave l'Occident, à Lépide l'Afrique. En gage de réconciliation, Marc Antoine, qui vient de perdre Fulvie, épouse la soeur aînée de son rival, Octavie.
Il s'ensuit une longue trêve que savourent les Romains. Octave en profite pour affermir son autorité à Rome et en Italie. Il fait usage de la flotte d'Antoine pour vaincre Sextus Pompée en Sicile, à Nauloque, le 3 septembre 36 av. J.-C., et confisque aussi les possessions africaines de Lépide mais laisse à celui-ci le titre de grand pontife (ordonnateur des cérémonies religieuses).
En 32 enfin vient l'heure des comptes. Cléopâtre a repris son ascendant sur Marc Antoine et les deux amants réorganisent à leur façon les provinces orientales de Rome et l'Égypte.
À Rome, Octave a beau jeu de dénoncer une trahison d'Antoine au profit de Cléopâtre. Il obtient du Sénat qu'il déclare la guerre à cette dernière. Ainsi la guerre civile prend-elle l'allure d'une guerre contre l'étranger. Elle va aboutir à la défaite navale de Marc Antoine et Cléopâtre à Actium, grâce au génie stratégique d'Agrippa. Après la prise d'Alexandrie d'Égypte, Antoine et Cléopâtre n'ont plus d'autre issue que la mort.
Libéré de ses rivaux, Octave peut célébrer à Rome, le 15 août 29 avant J.-C., le triomphe dû à un général vainqueur. Il s'octroie dès lors un pouvoir quasi-absolu grâce au cumul indéfiniment renouvelé des plus hautes fonctions de la République.
Une monarchie qui ne dit pas son nom
La République romaine se transforme en quelques années en un « empire » qui ne dit pas son nom, ou plus précisément en un « principat » (avec un homme tout-puissant à sa tête) sans que ses structures traditionnelles aient été en apparence modifiées !
Pour commencer, Octave obtient du Sénat, comme César, le droit de porter à vie le titre d'Imperator (d'où nous avons tiré le mot empereur).
Ce titre désigne usuellement un général investi de l'imperium. C'est un pouvoir à caractère militaire mais aussi juridique et sacré conféré par le Sénat à un général avant de partir en campagne. Il lui est retiré à son retour à Rome, dans les limites du pomerium, l'enceinte sacrée délimitée selon la légende par la charrue de Romulus.
Par ailleurs, après la fin du deuxième triumvirat, le nouvel homme fort de Rome se voit réattribuer dix années de suite le consulat (qu'il partage à chaque fois avec un quelconque notable).
À partir de l'an 28 av. J.-C., Octave est officiellement considéré comme Princeps senatus ou premier sénateur (d'où nous avons tiré le mot prince).
L'année suivante, le 16 janvier de l'an 27 av. J.-C., le Sénat romain lui décerne le surnom d'Augustus (Auguste) habituellement réservé aux divinités. Ce titre honorifique désigne celui qui agit sous de bons auspices.
Le prince impose une réorganisation des provinces.
Au Sénat, les provinces les plus anciennes, pacifiques et désarmées, avec un proconsul à leur tête ; à lui, les provinces les plus récentes, avec la force armée qu'elles nécessitent et un légat à leur tête.
Il a de la sorte autorité sur les trois provinces de Gaule, d'Espagne et de Syrie ainsi que sur leurs armées, éliminant pour longtemps le risque qu'un général ne se pose en rival. Il sera quelques années plus tard élargi à tout l'empire, y compris à la ville de Rome !
En 23 av. J.-C., à la suite d'une grave maladie, Auguste se fait attribuer la puissance tribunicienne à vie, autrement dit tous les attributs d'un tribun de la plèbe, fonction qu'il lui est interdit de cumuler avec ses autres magistratures.
Elle lui garantit l'inviolabilité et lui donne le droit de proposer des lois au Sénat et d'opposer son veto à celles qui lui déplaisent, la censure l'autorisant à dresser les listes de sénateurs, de chevaliers et de citoyens.
À la mort de Lépide, en 12 avant J.-C., Auguste est enfin élu grand Pontife et devient à ce titre le chef de la religion et l'ordonnateur des cérémonies. On l'honore sur les autels et plusieurs cités provinciales vont jusqu'à le déifier.
Le prince n'est bientôt plus désigné que sous l'appellation Imperator Cesar Augustus.
Le « Père de la Patrie »
Assuré de son pouvoir sur Rome et l'ensemble de ses possessions, Auguste professionnalise l'armée avec des volontaires engagés pour vingt ans qui reçoivent en fin de carrière un lopin de terre et un pécule. Se targuant d'avoir restauré la paix, il peut fermer pour un temps le temple de Janus, consacré à la guerre et à la paix.
Auguste, qui n'a aucun attrait pour les armes, lance seulement quelques guerres pour consolider les frontières. Il délègue celles-ci à ses proches Rufus et surtout Agrippa.
Le premier sera condamné à mort par le Sénat pour avoir comploté contre le prince ; le second demeurera à ses côtés jusqu'à sa mort, en 12 avant J.-C., l'assistant de son génie et acceptant même d'épouser sa fille unique, l'inconstante Julie, pour lui donner des petits-fils.
Entre les Alpes et le Danube, ses gendres Drusus et Tibère conquièrent la Rhétie, le Norique et la Pannonie. Il soumet en personne les peuples des Alpes occidentales, ce qui lui vaut un trophée à sa gloire à La Turbie, en un lieu magnifique qui domine la côte méditerranéenne et l'actuelle cité de Monaco.
À l'exception de l'Égypte, devenue l'un des joyaux de l'empire, il n'annexe pas formellement les royaumes périphériques mais les maintient sous le protectorat de Rome et fait éduquer à ses frais, dans la Ville même, les enfants des rois vaincus afin de les rallier à sa politique.
C'est le cas en Orient du royaume de Judée, gouverné par Hérode, de la Cappadoce du roi Archelaüs, du Pont et de la Petite Arménie du roi Polémon, de la Galatie, la Pisidie et la Lycaonie du roi Amyntas. En Afrique, Juba II, roi de Maurétanie, est aussi le protégé d'Auguste.
Sa principale déconvenue vient de l'échec de la tentative de conquête de la Germanie entre Rhin et Danube. Tibère ainsi que le neveu de l'empereur, Germanicus, occupent ces régions mais un chef chérusque, Arminius (Hermann), piège et massacre trois légions en l'an 9 de notre ère dans la forêt de Teutoburg, près d'Osnabrück. « Il en éprouva, dit-on, un tel désespoir, qu'il laissa croître sa barbe et ses cheveux pendant plusieurs mois, et qu'il se frappait parfois la tête contre les murs, en s'écriant : Quinctilius Varus, rends-moi mes légions. Les anniversaires de ce désastre furent toujours pour lui des jours de tristesse et de deuil » (Suétone, Vie des Douze Césars).
Auguste s'applique à embellir Rome, la Ville par excellence, et la couvrir de monuments, grâce au concours de son fidèle Agrippa. « Il se vanta avec raison d'avoir trouvé une ville de briques et d'en avoir laissé une de marbre », (Suétone, Vie des Douze Césars).
Agrippa construit sur ses deniers propres les premiers thermes publics de Rome, sur le Champ de Mars, au nord du pomerium, l'enceinte sacrée de la ville. À proximité, il érige aussi le Panthéon, dédié à tous les dieux. Ce monument a été profondément remanié par l'empereur Hadrien et a traversé les siècles intact.
Toujours sur le Champ de Mars est érigé le Mausolée d'Auguste. Ce monument de forme conique, dont il ne reste que des ruines, est destiné à recevoir les cendres des membres de la famille d'Auguste (seules sa fille Julie et sa petite-fille Julie en seront exclues pour cause d'inconduite notoire). En 13 avant J.-C., le Sénat décide de célébrer le rétablissement de la paix par Auguste en lui vouant un autel à proximité du Mausolée. Ce bijou architectural est l'Autel de la Paix (ara pacis).
Les cités provinciales ne sont pas oubliées. Nîmes, par exemple, a bénéficié de grands travaux et d'un début de réalisation de son célèbre aqueduc (le pont du Gard).
Agrippa lance aussi d'autres chantiers comme le Forum d'Auguste. Il se préoccupe aussi de la vie quotidienne en modernisant les égoûts, construisant de nouveaux aqueducs et renforçant les services de prévention des incendies, avec notamment des machines de siège destinées à détruire les bâtisses pour circonscrire au plus vite les sinistres !
Il tente aussi de réformer l'annone, une distribution gratuite de blé à 300 000 plébéiens de Rome, en essayant d'en restreindre le nombre de bénéficiaires.
Avec un million d'habitants sur 1300 hectares, dont une bonne partie occupés par les forums, temples et résidences aristocratiques, Rome apparaît comme une cité grouillante et dangereuse, tout autant que majestueuse. Sa densit de près de 100 000 habitants/km2 est cinq fois supérieure à celle du Paris intra-muros actuel.
Le principat voit aussi l'épanouissement de la littérature latine avec les poètes Virgile et Horace et l'historien Tite-Live. Dans les Georgiques, en 37 avant J.-C., Virgile exalte le retour à la paix et les charmes de la vie rurale. À la fin de sa vie, sur une suggestion directe d'Auguste, il compose l'Énéide, un poème épique sur les origines de Rome.
L'un des plus proches amis d'Auguste, le richissime Mécène, les reçoit dans sa villa de Tibur et n'hésite pas à les aider financièrement quand cela est nécessaire. Faisant office de ministre de la Culture, il les invite à chanter les louanges du prince. Son nom est devenu un nom commun pour désigner les protecteurs des artistes !
Habile communicant, Auguste soigne son image de « Père de la Patrie », surnom octroyé par le Sénat en 2 de notre ère. Il se montre capable de clémence comme avec le jeune sénateur Cinna, petit-fils du Grand Pompée, qui projeta de l'assassiner, obtint son pardon le 5 juillet 13 avant J.-C. et finit par accéder au consulat.
Attentif aux présages et aux mythes comme la plupart de ses concitoyens, il souhaite que son règne soit assimilé à l'Âge d'Or qui doit succéder à l'Âge de Fer. Ses travaux d'embellissement urbains vont dans ce sens, de même que la réhabilitation des rites traditionnels de la religion.
Du 31 mai au 2 juin 17 avant J.-C., il renoue avec le lointain passé de Rome en faisant procéder aux Jeux Séculaires, les précédents ayant eu lieu en 149 avant J.-C. !
Mais il s'attire des sarcasme quand il tente, avec la Lex Julia de maritandis ordinibus, d'encourager le mariage, la fidélité et la procréation dans les couches supérieures de la société romaine. Lui-même, en effet, s'adonne au sexe sans modération, vole sans scrupules les femmes de ses proches, y compris celle de son ami Mécène, n'a eu aucun enfant de sa femme Livie et doit sévir contre l'inconduite scandaleuse de sa fille unique Julie, née d'un premier mariage.
Virgile exprime dans sa IVe Églogue (poème bucolique) en l'honneur de son protecteur Pollion son espoir en un possible Âge d'Or : « Toi du moins, sois favorable chaste Lucine, à l’enfant naissant par lequel cessera d’abord [la race] du fer et s’élèvera la race de l’or dans le monde entier ». Ce vers va prendre une résonance particulière chez des exégètes chrétiens des siècles suivants qui y verront rien moins que l'annonce du Christ !
On ne saurait oublier en effet que c'est au temps de l'empereur César Auguste que naît à Bethléem, un petit village au sud de Jérusalem, un enfant du nom de Jésus.
Difficile succession
Auguste, heureux dans presque toutes ses entreprises, a cependant échoué à assurer la transmission héréditaire du pouvoir en dépit d'une réputation méritée d'homme à femmes et d'une union heureuse mais stérile de 52 ans avec Livie Drusilla, une aristocrate qu'il a fait divorcer de son premier mari alors qu'elle portait son deuxième enfant. À défaut de mieux, il adopte son beau-fils Tibère, né du premier mariage de Livie, un homme capable mais avec lequel il n'a guère d'affinités.
L'empereur s'éteint en pleine gloire à 76 ans, le 19 août de l'an 14 après J.-C., dans les bras de Livie. Déjà honoré comme le « Père de la Patrie », il reçoit sitôt après sa mort les honneurs de l'apothéose, c'est-à-dire qu'il est hissé au rang des divinités.
C'est en définitive Tibère qui va hériter à 56 ans de l'oeuvre immense de César et d'Auguste ! Ainsi Rome liera-t-elle son destin pendant un demi-siècle à une dynastie julio-claudienne issue tout à la fois de la gens Julia (Auguste) et de la gens Claudia (Livie).
Bibliographie
L'ouvrage incontournable est signé Suétone : Vie des douze Césars. L'auteur est un érudit né en 75, qui travailla pour l'empereur Hadrien avant d'être exilé. Son récit, vivant et non dépourvu de commérages, a forgé en bonne partie notre vision des débuts de l'empire romain. Nous lui devons en premier lieu notre classement des douze premiers césars: Jules César, Auguste, Tibère, Caligula, Claude, Néron, Galba, Othon, Vitellius, Vespasien, Titus et Domitien et le moyen mnémotechnique de s'en souvenir (un classique du collège) : Cés Au Ti Ca Vi Ves Ti Do.
Plus près de nous, Pierre Cosme a publié en 2005 Auguste (Perrin), une biographie limpide et didactique autant que passionnante. On peut aussi se reporter sur le hors-série richement illustré qu'a consacré à Auguste Le Figaro en 2014. Notons aussi l'excellente série télévisée Rome en 22 épisodes réalisée en 2005 par John Millius et Bruno Heller, avec une production internationale : derrière un vernis romanesque, elle donne du jeune Octavien et de Rome une image très vraisemblable.
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Cette carte montre l'empire romain dans sa plus grande extension (fin du Ier siècle après J.-C.). Au centre de cet immense empire était la mer Méditerranée, que les Romains appelaient avec orgueil et non sans justesse Mare Nostrum (Notre mer). Cet empire est aujourd'hui éclaté en États rivaux que divisent la langue, la politique, la religion, la société et l'économie.
Survol de l'histoire de Rome
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Voir les 5 commentaires sur cet article
Roland Berger (17-08-2024 18:29:22)
Auguste et Tibère créent le bouillon de culture d'où émergera le catholicisme, une copie de l'empire politique.
Florence (06-09-2014 19:20:36)
Que deviendrions-nous sans les excellents articles d'HERODOTE. Un régal presque au quotidien
à déguster et à savourer sans modération .
D.Brassart (24-08-2014 11:49:32)
Très bon article, mais avec une vilaine faute d'orthographe. On doit écrire : "Livie Drusilla...qu'il a fait divorcer..." et non qu'il a faitE divorcer. Pas bien !!!