Fils unique du duc de Bourgogne Philippe le Bon et d'Isabelle de Portugal, Charles le Téméraire vise comme son père à créer un nouvel État entre la France et le Saint Empire romain germanique.
Philippe le Bon, qui se faisait surnommer « Grand-Duc du Ponant » (Grand Duc d'Occident), semblait sur le point de constituer cette nouvelle Lotharingie. Troisième duc de la dynastie des Valois, cousin du roi de France Louis XI, il avait réussi en effet à faire un havre de prospérité de ses domaines bourguignons et flamands reçus par héritage ou mariage.
Mais Philippe le Bon décède le 15 juin 1467 à Bruges. Il suffira d'à peine dix ans pour que son fils et héritier Charles le Téméraire (ou Charles le Hardi) perde ce magnifique héritage, victime de ses maladresses face à ses voisins suisses et à son suzerain Louis XI...
L'héritier du « Grand-Duc du Ponant »
Avant son avènement à la tête du duché à 33 ans, Charles se satisfait du titre de comte de Charolais. Il se montre cultivé, amateur de poésie, épris de romans de chevalerie, ambitieux mais aussi entêté et emporté, « aigre en son vouloir et aigu en ses mots », selon le chroniqueur Georges Chastelain. Moins jovial que son vieux père, de 37 ans son aîné, il le jalouse et ne manque pas de lui reprocher ses frasques amoureuses et ses dix-sept bâtards.
Dès 1465, Charolais s'associe à la « Ligue du Bien public » la mal-nommée, une coalition de grands féodaux contre le roi de France Louis XI. Les deux hommes s'affrontent à la bataille de Montlhéry, au sud de Paris, le 16 juillet 1465. Cette bataille indécise conduit Louis XI à céder les villes de la Somme au Bourguignon.
La paix rétablie, Charles doit encore châtier les villes qui ont pris parti pour le roi, la principale étant Liège. Les habitants de celle-ci font amende honorable par une « piteuse paix », le 26 janvier 1466.
Les habitants de Dinant, près de Namur et Bouvines, ont moins de chance. Il est vrai qu'ils ont eu l'impudence de qualifier le comte de Charolais de bâtard, insultant de la sorte la vertu de sa mère Isabelle de Portugal.
Bien que très malade et porté sur une civière, le vieux duc Philippe veut en personne diriger l'expédition punitive. Le duc et son fils imposent très lourdement les habitants et pendent les notables les plus compromis. Mais ils ne peuvent empêcher leurs soldats de piller les maisons et, dans la nuit qui suit la prise de la ville, un incendie accidentel la ravage.
Sur ces entrefaites meurt Philippe le Bon. En accédant à la tête du duché, Charles le Téméraire reçoit la Hollande et la Belgique actuelles, une partie du nord-est de la France (Abbeville et Amiens), la Bourgogne et la Franche-Comté. Il devient le vassal du roi de France pour le duché de Bourgogne, la Flandre, l’Artois et la Picardie mais il dépend du Saint Empire romain germanique pour la Franche-Comté, le Luxembourg et les Pays-Bas.
Ses territoires ont deux centres de gravité, la vieille Bourgogne où prédomine la noblesse féodale, les Pays-Bas urbanisés, prépondérants sur le plan économique avec des cités commerçantes et très riches grâce à leur savoir-faire dans le tissage de la laine. Il veut en faire un bloc territorial cohérent, acquérir une entière souveraineté et pourquoi pas ? ceindre une couronne royale.
Bénéficiant de ressources colossales, il entretient comme son père à Dijon une cour opulente et fastueuse, l'un des principaux pôles culturels de l'Europe à l'aube de la Renaissance.
Soucieux de bonne gestion, il est l'un des premiers souverains à séparer ses biens personnels des rentrées de l'État. Mais cela ne suffit pas. Pour réaliser son rêve d'une nouvelle Lotharingie, il lui faut avant toute chose homogénéiser l'administration de ses domaines. Mission impossible vu la diversité des langues, des coutumes, du droit et des activités. Avec, comble de malheur, l'hostilité larvée de Louis XI, l'« universelle aragne ».
La chance sourit au duc
Dans un premier temps, tout semble réussir au Téméraire. Sa politique est avant tout dirigée contre Louis XI, de dix ans son aîné, dont il supporte mal les tentatives centralisatrices, au moment où la France sort de la guerre de Cent Ans.
Charles doit une première fois réprimer la révolte des bourgeois de Liège contre leur prince-évêque, encouragée en sous-main par le roi de France. Le 27 octobre 1467, Charles bat les troupes de Liège, fortes de 20 000 hommes, à Brustem, près de Saint-Trond. Et le 11 novembre suivant, après que leur chef Raes de Heers s'est enfui, les bourgeois de la ville font amende honorable. La ville est lourdement sanctionnée mais non violentée et perd ses libertés municipales.
Là-dessus, le duc, qui a perdu trois ans plus tôt son épouse bien-aimée Isabelle de Bourgogne, mère de sa fille unique Marie, se remarie le 3 juillet 1468, à Bruges, avec Marguerite d'York, soeur du roi d'Angleterre.
Louis XI, agacé par ce rapprochement anglo-bourguignon, s'applique à rompre l'alliance qui unit la Bretagne à l'Angleterre et la Bourgogne. À Dijon, on s'en indigne. Mais Charles le Téméraire se montre disposé à parlementer avec son cousin. Louis XI saisit la balle au bond et s'invite sans façon dans le vieux château que possède le duc à Péronne. Souriant et plein de bonnes manières, il veut le dissuader de renouveler une alliance avec le roi d'Angleterre.
Mais l'entrevue de Péronne dérape quand on vient dire au duc que les Liégeois se sont à nouveau rebellés et auraient massacré leur évêque et le gouverneur bourguignon (l'information sera un peu plus tard démentie). Des agents de Louis XI ont été formellement reconnus parmi les rebelles.
Pas de chance pour le roi de France qui ne pensait pas que le soulèvement surviendrait si tôt. L'affaire manque de mal se finir pour lui. Pris au piège et menacé dans sa vie, il doit se rendre à Liège avec le duc et son armée.
Suprême humiliation, le voilà contraint le 30 octobre 1468 de parcourir la ville à cheval avec sa garde écossaise, portant la croix de Saint-André, saint patron de la Bourgogne, au cri de « Vive Bourgogne ! ».
Stupéfaction des habitants. Des centaines de personnes seront massacrées ou noyées dans la Meuse et la ville finalement rasée sur le conseil de... Louis XI.
Le roi va se venger de sa mésaventure de Péronne en faisant enfermer son conseiller, le cardinal de La Balue, maître d'oeuvre des négociations.
L'année suivante, nouvel exploit : le 9 mai 1469, à Saint-Omer, Charles conclut avec le duc d'Autriche Sigismond de Habsbourg, cousin de l'Empereur, un traité par lequel il reçoit en gage le landgraviat de Haute-Alsace et la Forêt-Noire en contrepartie d'un important prêt de 180 000 florins et d'une promesse d'assistance.
Sur une suggestion de Sigismond, l'empereur Frédéric III de Habsbourg promet de son côté à Charles de transformer son duché en royaume. Avec une double condition : Marie, la fille unique du duc, épouserait Maximilien, le fils de l'empereur, tandis que Charles lui-même succèderait à Frédéric III à la tête du Saint Empire romain germanique. Les tractations à Trèves traînent en longueur et sont finalement rompues le 25 novembre 1473.
Le duc Charles confie le landgraviat de Haute-Alsace à Pierre de Hagenbach. Celui-ci assainit l'administration et relève le pays de ses ruines mais il s'attire la haine des Confédérés suisses, ses voisins. À Berne, le parti bourguignon conduit par Adrien de Bubenberg s'en trouve affaibli au profit du parti français.
À ce succès sur le haut-Rhin s'en ajoute un autre sur le bas-Rhin où Charles le Téméraire met opportunément la main sur le duché de Gueldre et sa capitale Arnhem, à la faveur d'une dispute entre le vieux duc et son fils. Celui-ci est emprisonné et son père, lassé de tout, vend le duché à Charles le 7 décembre 1472.
Sans s'appesantir sur la défection de l'empereur Frédéric III, Charles le Téméraire resserre ses liens avec son voisin et protégé, le duc René II de Lorraine.
Il entreprend aussi d'unifier l'administration de ses domaines. À défaut d'une couronne, il veut au moins un État véritable. À Malines, le 8 décembre 1473, il publie une ordonnance qui fonde trois organismes destinés à administrer les Pays-Bas bourguignons, une Chambre des Comptes, une Chambre du Trésor et une Chambre des Aides (rentrées d'impôts). Le mois suivant, une autre ordonnance, à Dijon, organise la Bourgogne et la Franche-Comté.
Le Téméraire, le Rusé et les bouviers
Mais le vent tourne pour le Téméraire... Après sa rupture avec Frédéric III, il voit ressurgir le conflit avec Louis XI. Évoquant les tensions entre le roi et ses féodaux, il confie à Philippe de Commynes : « J'aime tant la France qu'au lieu d'un roi je lui en voudrais six ! ».
Le duc conclut contre Louis XI une alliance avec son beau-frère le roi d’Angleterre Édouard IV le 25 juillet 1474 : il s'engage à lui fournir 10 000 hommes qui débarquerait de son côté à Calais avant le 1er juillet 1475, avec une force similaire. Puis ce serait la conquête en commun de la France.
Mais dans le même temps, Charles a cru bon de répondre à un appel à l'aide de l'évêque de Cologne Robert de Bavière, dépossédé de son diocèse par un rival. Le 21 juillet 1474, à Maastricht, il prend la tête de son armée et entre en Allemagne. L'affaire se corse quand plusieurs princes se coalisent contre lui par un pacte signé à Andernacht à l'instigation de Louis XI, le 31 décembre. Le duc s'entête devant la forteresse de Neuss, près de Düsseldorf, dont la prise doit lui ouvrir la route de Cologne. Une trêve est enfin conclue le 18 juin 1475. Un coup pour rien.
Accaparé par le siège de Neuss, le duc de Bourgogne se trouve dans l'incapacité de remplir ses obligations envers Édouard IV. Par le traité de Picquigny du 29 août 1475, ce dernier conclut donc avec Louis XI un accord financièrement avantageux pour l’Angleterre. Il met véritablement fin à la guerre de Cent Ans. L'essentiel pour Louis XI est que l'invasion anglaise a été étouffée dans l’œuf.
C'est au tour de Charles le Téméraire de s'incliner. Le 13 septembre 1475, il signe avec Louis XI une trêve de neuf ans puis en profite pour occuper la Lorraine, trait d'union essentiel entre ses territoires. Il en chasse le jeune duc René II et entre dans Nancy le 30 novembre 1475, jour de la Saint-André, protecteur de la Bourgogne. Il se promet de faire de la ville la capitale de l'ensemble de ses États.
Le duc a désormais les mains libres pour régler leur compte aux Suisses, qu'il qualifie avec mépris de « peuple de bouviers » et qui ont eu le front d'attaquer la Franche-Comté et le pays de Vaud, une possession du duché de Savoie, son allié.
La Confédération suisse, qui compte alors huit cantons ou « lieux », s'est endurcie dans la guerre contre les Habsbourg. Plus sûre d'elle-même, elle se fait désormais conquérante et supporte mal l'ombre envahissante de son voisin bourguignon.
Par un singulier retournement d'alliance, le 30 mars 1474, elle conclut avec le duc Sigismond d'Autriche un « Règlement perpétuel » par lequel elle l'aide à racheter ses hypothèques sur la Haute-Alsace et enlever celle-ci au Bourguignon.
La Confédération n'attend plus qu'une occasion de se mobiliser contre Bourgogne. Elle vient à la faveur d'une révolte en Haute-Alsace. Les bourgeois, apprenant que Sigismond a repris ses hypothèques, réclament de revenir sous son autorité. Ils ne supportent plus la rigueur et la sévérité du gouverneur mis en place par le duc de Bourgogne, son fidèle Pierre de Hagenbach.
Celui-ci se voit assiégé à Brisach par les insurgés. Enchaîné, il est mis en jugement devant un tribunal d'exception auquel participent des représentants de la Confédération.
Condamné à mort, il est décapité le soir du 9 mai 1474, à la lueur des torches, à l'orée de la ville.
La Confédération va chercher en France un appui contre Charles le Téméraire. Louis XI accueille avec beaucoup d'intérêt les propositions des Bernois, qui rêvent d'en découdre avec le duc de Bourgogne.
Il va se servir des Suisses pour abattre son arrogant vassal.
Le 21 octobre 1474, il leur offre une généreuse dotation pour équiper leur armée et trois jours après, les Confédérés adressent au duc de Bourgogne une lettre de défi qui n'est rien moins qu'une déclaration de guerre.
Organisée pour la guerre, la Confédération est en mesure de très vite « mettre aux champs » ou mobiliser pas moins de 70 000 paysans-soldats. Ces fantassins disposent de piques de six mètres et avancent lentement sur l'ennemi en rangs serrés, formant une carapace contre laquelle s'épuisent les cavaliers. Le mugissement assourdissant des cors de berger ajoute à l'effroi.
Ces Suisses infligent aux Bourguignons une première défaite devant Héricourt, en Franche-Comté.
8 000 piquiers commandés par Guillaume Herter font le siège de la petite ville quand un guetteur annonce l'arrivée du maréchal de Bourgogne Claude de Neuchâtel avec 5 000 hommes ainsi que du comte de Romont avec 8 000 fantassins et 12 000 cavaliers.
Le comte de Romont et ses hommes regardent les piquiers suisses avancer avec sidération quand tout à coup, sur leur gauche, sortis de la forêt, d'autres Suisses les assaillent au cri de « Berne et Saint Vincent ! » C'est le carnage. Les Bourguignons perdent 2 000 hommes et leurs chariots. Les Suisses, à les en croire, 70 hommes seulement.
Passé l'hiver, les Bernois poursuivent leur avantage en envahissant le pays de Vaud. Pas de quartier. Les assaillants amènent avec eux leur bourreau et décapitent toutes les garnisons qui leur résistent. À la forteresse des Clées, le bourreau suisse étant indisponible, un prisonnier vaudois sauve sa tête en s'offrant pour décapiter celle de ses compagnons.
En avril 1475, les Bernois poursuivent leur avantage en installant une garnison dans le château de Grandson, à l'extrémité occidentale du lac de Neuchâtel. Le duché de Savoie, que gouverne la régente Yolande au nom de son jeune fils Philibert, est plus que jamais menacé d'être dépecé par ses voisins, les Suisses mais aussi le duc de Milan Galéas-Marie Sforza et le roi de France.
Il est plus que temps que le Téméraire arrive. Tel Hannibal franchissant les Alpes, il traverse le Jura au col de Jougne enneigé en février 1476, en grand équipage avec 60 000 hommes, toute sa cour et toute son administration. Il est accueilli en libérateur par les Vaudois cependant que les Confédérés, dans l'affolement, sonnent le rassemblement à Neuchâtel.
S'étant emparé du château de Grandson, le Téméraire fait exécuter toute la garnison, soit un total de quatre cents hommes. On jette des défenseurs du haut des tours « pour leur apprendre à voler ». D'autres sont noyés dans le lac ou branchés (pendus). Là-dessus, il se prépare à accueillir l'armée des Confédérés, très inférieure en nombre.
L'affrontement se produit le 2 mars 1476. Tandis que s'avancent les piquiers suisses, Charles le Téméraire veut les attirer dans la plaine pour mieux les battre et demande à son avant-garde de se déplacer. Les autres corps d'armée croient à une retraite et sont dans le même temps surpris par des Suisses qui sortent de la forêt sur leur flanc gauche, au son terrifiant des trompes de montagne. C'est la débandade générale, incontrôlée.
Les Suisses, surpris par cette victoire sans coup férir, tombent sur le camp bourguignon. Ils s'emparent de deux cents bouches à feu dont quelques pièces à plusieurs canons, ainsi que des affaires personnelles du duc, de ses tentes somptueuses, de son argenterie, de ses pierres précieuses et diamants, tel le Sancy (55 carats), de son épée, de son chapeau et même de la matrice de son sceau !
Ils mettent la main également sur les deux mille filles de joie du camp mais de cela, ils n'auront garde de se vanter dans leur village et auprès de leurs épouses.
Le duc, qui a réussi à s'enfuir, ne se démonte pas. Il reconstitue son armée et repart en campagne en promettant de ne plus se raser avant que son honneur soit restauré !
Soucieux de consolider ses arrières, il promet sa fille et héritière Marie en mariage à Maximilien, le fils de l'empereur Frédéric III de Habsbourg.
Les Confédérés se préparent aussi, de leur côté, au combat de la dernière chance. Réunis en diète à Lucerne, ils s'engagent à ne pas faire de quartier.
Les mercenaires lombards du duc l'apprennent et s'en effraient, inaccoutumés qu'ils sont à pareille sauvagerie.
Le 22 juin 1476, tandis que Charles le Téméraire fait le siège de la cité fortifiée de Morat, à 70 km au nord de Lausanne, l'armée confédérée arrive au secours des assiégés commandés par Adrien de Bubenberg, ancien ami du duc.
L'affaire se dénoue en une heure quand, par centaines et par milliers, les Suisses sortent par surprise de la forêt et rompent la palissade derrière laquelle s'abritaient les assiégeants bourguignons.
Il s'ensuit cinq heures d'épouvante au cours desquelles les vainqueurs tuent leurs prisonniers de toutes les façons possibles. La bataille aurait fait plusieurs milliers de morts, y compris par noyade dans le lac de Morat.
Cette fois, la fin est proche. Le duc, défait et malade, tente dans l'hiver de reprendre la ville de Nancy au duc de Lorraine et à ses troupes essentiellement composées de mercenaires suisses ! Face aux 15 000 hommes de René II, il ne dispose que d'à peine 2 000 soldats rescapés de la bataille de Morat. Son échec est tellement prévisible qu'il est abandonné en pleine bataille par l'un de ses condottiere, le comte de Campobasso.
Le duc lui-même disparaît dans la furie de la bataille, le 5 janvier 1477. Son corps est retrouvé seulement trois jours plus tard, à moitié dévoré par les loups. Il s'ensuit cette formule laconique connue de tous les écoliers suisses : « Charles le Téméraire perdit à Grandson le bien (sa fortune matérielle), à Morat le courage (à la suite de la destruction de son armée), à Nancy la vie ».
C'est la fin de la Bourgogne ducale. L'héritage flamand de Charles le Téméraire va être transmis par sa fille Marie aux Habsbourg, le roi de France récupérant la Bourgogne et la Picardie.
Bibliographie
Sur ces deux destins d'exception que furent Louis XI et Charles le Téméraire, on peut lire l'indépassable biographie de Paul Murray Kenddall, Louis XI (1971) et celle de Klaus Schelle, Charles le Téméraire (1977).
Provinces de France et d'ailleurs
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pierre (25-04-2016 11:47:04)
Dans mes jeunes années, au "bahut", nous avions un prof d'histoire qui aimait la peinture (Velasquez surtout), la photographie et les belles lettres. Il nous "racontait" l'histoire et nous aimions to... Lire la suite