Comment expliquer l’échec des deux invasions mongoles au Japon à la fin du XIIIe siècle ? Dans deux ouvrages, dont le dernier a été publié récemment, l’historien japonais Hideo Hattori propose une nouvelle interprétation. Il y nie pour la première invasion et minimise pour la seconde l’impact des violentes tempêtes tropicales sur l’issue des batailles. Les « vents divins » ou « kamikaze » en japonais, ont en effet longtemps été considérés comme les principaux responsables des victoires nippones...
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