Par la loi du 11 Germinal An XI (1er avril 1803), le Premier Consul Napoléon Bonaparte en finit avec la fantaisie qui avait cours dans l'attribution des prénoms aux nouveau-nés. L'article 1er énonce : « À compter de la publication de la présente loi, les noms en usage dans les différents calendriers, et ceux des personnages connus de l'histoire ancienne, pourront seuls être reçus, comme prénoms sur les registres de l'état civil destinés à constater la naissance des enfants ; et il est interdit aux officiels publics d'en admettre aucun autre dans leurs actes »...
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