La Résistance à l’occupant pendant la Seconde Guerre mondiale a longtemps été perçue comme un phénomène exclusivement masculin. Cette vision s’est imposée dans la mémoire collective dès la fin du conflit, comme en témoigne le film de René Clément, La bataille du rail : retraçant la résistance des cheminots français entre 1940 et 1944, le film scelle l’image de la Résistance comme une expérience exclusivement virile, seulement fondée sur des actions d’éclat – sabotages de matériel, attentats, assassinats d’officiers allemands.
Pourtant, un grand nombre de femmes ont également fait partie de l’« armée des ombres » et joué un rôle non négligeable dans la lutte contre l’ennemi nazi. Certaines sont d’ailleurs aujourd’hui connues ou en tout cas reconnues, telles Lucie Aubrac, Germaine Tillion ou Danielle Casanova, dont les noms ont été donnés à des rues, des médiathèques ou des établissements scolaires. D’autres au contraire sont demeurées anonymes : engagées dans une résistance plus quotidienne, moins flamboyante, elles n’en ont pas moins contribué de façon déterminante à la victoire finale.
Des femmes engagées
Les raisons de l’engagement des femmes dans la Résistance ne sont pas différentes de celles des hommes. C’est le refus de la défaite du printemps 1940 et de ses conséquences. Bien davantage que l’Appel prononcé le 18 juin 1940 par le général de Gaulle, que peu de Français ont alors entendu, c’est le discours de Pétain, radiodiffusé la veille, le 17 juin, qui a joué le rôle de catalyseur pour un grand nombre d’hommes et de femmes.
Faisant don de sa personne à la France « pour atténuer son malheur », le vainqueur de Verdun, tout récemment nommé président du Conseil, annonce aux Français que le combat est terminé, et qu’il s’est mis en relation avec l’ennemi afin de rechercher « les moyens de mettre un terme aux hostilités ».
Cette annonce d’un armistice va déclencher, chez nombre d’auditeurs du discours un rejet immédiat de ce qu’ils perçoivent comme une insupportable capitulation. Ainsi l’ethnologue Germaine Tillion, qui vient alors tout juste de rentrer à Paris après une mission d’étude de plusieurs mois en Algérie, retrouve la France plongée en pleine débâcle ; ayant fui Paris avec sa mère peu de temps après son retour, c’est sur les routes de l’exode qu’elle entend le 17 juin le discours du maréchal Pétain.
Submergée par le dégoût, elle cherche, dès son retour à Paris quelques jours plus tard, un moyen de résister. Prenant contact avec des camarades ethnologues qu’elle a connus au musée de l’Homme, un établissement qu’elle fréquente régulièrement depuis la fin des années 1930, elle participe dès la fin du mois de juin 1940 à la création du Réseau du musée de l’Homme, l’un des tout premiers réseaux de Résistance à apparaître sur le territoire français.
À Auch, le 17 juin, la jeune Jeanine Morisse écoute quant à elle l’allocution du maréchal Pétain en compagnie de quelques camarades d’Université : les jeunes gens, garçons et filles, sont bouleversées et révoltés. « Les larmes, les larmes, les larmes », se souvient l’ancienne résistante soixante ans après. « Pour nous, c’était la trahison », ajoute-t-elle.
Dès le lendemain, Jeanine et une quinzaine d’étudiants, garçons et filles, se réunissent à la bibliothèque d’Auch et se promettent « de lutter jusqu’à ce que l’envahisseur soit parti ». Ils se donnent même un nom, « À Bloc » – comme dans « gonflés à bloc ».
Tant féminin que masculin, l’engagement naît donc d’un refus de l’Occupation promise par le Maréchal Pétain. Mais rejette-t-on les Allemands parce qu’ils sont des étrangers qui occupent indûment le sol national, ou bien parce que ce sont des nazis, donc porteurs d’une idéologie perçue comme délétère ? Pour les femmes comme pour les hommes, la réponse à cette question dépend souvent du degré de politisation antérieur à la guerre.
La jeune étudiante toulousaine Raymonde Boix, peu voire pas du tout politisée avant 1940, évoque avant tout le rejet des Allemands en tant qu’occupants étrangers, qui réduisent la patrie en esclavage : « Nous avons tous été pris de ce sentiment de honte dévastatrice et de ce refus de l’Allemand, mais ce qui m’a poussée à m’engager, c’était de voir l’occupant piller et bafouer la France. S’engager, c’était défendre l’honneur de son pays. »
Pour d’autres au contraire, c’est bien l’idéologie nazie en tant que telle qui est inacceptable. Fille d’immigrés italiens qui ont fui le régime fasciste au début des années 1920, la jeune Damira Titonel a baigné dès son enfance dans un milieu antifasciste – son père, Cesare Titonel, est un farouche opposant à Mussolini.
Dans ses Mémoires d’une résistante. Les antifascistes italiens en Lot-et-Garonne sous l’Occupation, ce sont bien les nazis qu’elle stigmatise : « Devant nous, on avait souvent parlé du fascisme et de mon oncle (…) qui avait été torturé par les fascistes en Italie. Et voilà que d’autres qui leur ressemblaient, les nazis, envahissaient la France, d’abord jusqu’à la Loire puis sur tout le pays. (…) Ils se prétendaient une race supérieure. Ils voulaient exterminer les Juifs, prétendant que c’était une race inférieure. Ils étaient cruels, impitoyables. Ils étaient le contraire de ce que nous étions. »
Le choc de la défaite et de l’invasion en 1940, l’année 1941 constitue un nouveau tournant pour l’engagement dans la Résistance. L’invasion de l’URSS par Hitler le 22 juin 1941, rendant caduque le pacte germano-soviétique du 23 août 1939 qui avait déstabilisé tant de militants du PCF, permet l’entrée massive des communistes dans la Résistance – un grand nombre d’entre eux s’y étaient déjà engagés à titre individuel.
Ainsi la jeune militante communiste Danielle Casanova, entrée dans la clandestinité en septembre 1939 après l’interdiction du PCF, a-t-elle mis en place dès le mois d’octobre 1940 en région parisienne les « Comités féminins », organisation de femmes communistes qui luttent contre l’occupant ; en juillet 1941, un mois après le début de l’opération Barbarossa, Danielle Casanova facilite l’entrée dans la lutte armée des dirigeants des Jeunesses communistes, qui rejoignent alors massivement la Résistance.
Des actions d’éclat
Les femmes ont mené différents types d’actions au sein de la Résistance. Si elles sont moins nombreuses que les hommes à avoir combattu les armes à la main, ou à avoir pris la tête d’un réseau clandestin, elles sont néanmoins quelques-unes à être sorties du rôle traditionnellement dévolu aux femmes.
Née en 1909 au sein de la grande bourgeoisie marseillaise, mariée à un officier, Marie-Madeleine Fourcade a intégré avant la guerre un service de renseignement anti-communiste fondé par Georges Loustaunau-Lacau, un militaire proche de l’extrême droite.
Par refus de l’Occupation, Loustaunau-Lacau prend contact en septembre 1940 avec les services secrets anglais et transforme son groupe en réseau de Résistance : en 1941, le réseau Alliance est ainsi rattaché à l’Intelligence Service britannique.
Après l’arrestation de Loustaunau-Lacau en juillet 1941, Marie-Madeleine Fourcade prend la tête d’Alliance, dirigeant d’une main de fer les centaines d’hommes désormais sous ses ordres.
Les femmes sont également capables de prendre les armes, comme le montre l’exemple de Madeleine Riffaud : le 23 juillet 1944, cette jeune membre des FTP parisiens abat en plein jour, de deux balles dans la tête, un officier allemand sur le pont de Solférino.
Née dans la Somme le 23 août 1924, fille d’un couple d’instituteurs, Madeleine Riffaud passe son enfance en Picardie. Elle n’a même pas dix-huit ans quand elle rejoint en 1942 les rangs de la Résistance parisienne, plus particulièrement ceux du Front national de lutte pour la libération et l’indépendance de la France, un mouvement de Résistance intérieure créé par le PCF. Madeleine Riffaud se fait appeler Rainer, en hommage au poète autrichien Rainer Maria Rilke dont elle admire la poésie, et participe à plusieurs « coups de main » contre l’occupant. Au mois de mars 1944, elle intègre les FTP – Francs-tireurs et partisans –, groupe armé d’obédience communiste qui incite ses membres à multiplier les actions d’éclat afin de maintenir une pression constante sur l’ennemi, et de préparer le soulèvement de Paris que la Résistance appelle de ses vœux.
C’est ainsi que Rainer abat en juillet 1944 un officier allemand sur le pont de Solferino. Bien qu’ayant réussi à prendre la fuite à vélo, elle est rapidement rattrapée et arrêtée. Conduite au siège de la Gestapo, elle est torturée et condamnée à mort, n’échappant au peloton d’exécution que grâce à un échange de prisonniers. Ayant réussi à s’évader du train qui la menait vers la déportation, Madeleine Riffaud reprend les armes et participe en août 1944 aux combats pour la Libération de Paris. Elle qui aime tant la poésie a tiré un poème de ce qui reste son acte de Résistance le plus marquant :
Si elle n’a pas abattu directement d’officier allemand, Lucie Aubrac a elle aussi multiplié les coups d’éclat pendant l’Occupation. Militante communiste avant la guerre, la jeune femme s’est engagée dans les rangs de la Résistance dès 1940 aux côtés de son époux Raymond.
En septembre 1940, Lucie a fait la connaissance d’Emmanuel d’Astier de la Vigerie : ce journaliste proche du PCF, qui a fait le choix de lutter contre Vichy et l’occupant allemand, est à la recherche d’hommes et de femmes de bonne volonté, susceptibles de rejoindre le mouvement qu’il cherche à mettre sur pied.
En juin 1941, quand d’Astier de la Vigerie fonde Libération, Raymond et Lucie Aubrac le rejoignent et contribuent à faire de ce réseau l’un des plus puissants et des mieux organisés de la zone Sud.
Ce sont toutefois les deux missions qu’elle mène pour libérer son époux Raymond qui vont faire de Lucie Aubrac une véritable héroïne de la Résistance. Alors que Raymond Aubrac a été arrêté en mars 1943, puis à nouveau en juin de la même année, Lucie parvient chaque fois, avec un sang-froid étonnant, à le faire évader : elle n’hésite pas à prendre à cette occasion la tête des « groupes-francs » qui constituent le bras armé du mouvement Libération.
Par cette action d’éclat, la jeune femme est célébrée jusque de l’autre côté de l’Atlantique : dès 1944, une bande dessinée américaine intitulée Lucie to the Rescue met en scène une version romancée de l’évasion de Raymond orchestrée par Lucie en octobre 1943.
Une Résistance plus quotidienne
Les femmes sont ainsi capables de diriger des hommes et de manier les armes, mais elles ont parfois du mal, au sein même des réseaux de Résistance, à faire reconnaître par les hommes leurs compétences spécifiques, à partir du moment où celles-ci ne correspondaient pas à des attributions considérées comme féminines.
Dans son livre de souvenirs intitulé La plastiqueuse à bicyclette, l’ancienne résistante Jeanne Bohec a raconté comment, engagée à partir de janvier 1941 au sein du corps des Volontaires françaises des Forces Françaises Libres, elle s’était trouvée longtemps cantonnée à des fonctions de secrétariat, alors même que sa formation de chimiste lui aurait permis de mettre au point des explosifs et de fabriquer des bombes.
Également douée pour le maniement des armes, elle demande vainement, au moment de la Libération, à prendre part aux combats du maquis de Saint-Marcel en Bretagne, sa région d’origine.
De la même façon, si les femmes participent à l’impression et à la distribution de tracts et de journaux clandestins, elles n’en sont que rarement les rédactrices. Là aussi, conformément à la répartition des rôles sexués au sein de la société française dans son ensemble, chacun reste à sa place : aux hommes la réflexion et la rédaction d’écrits politiques, aux femmes les tâches logistiques et la diffusion de textes rédigés par des hommes.
Lucie Aubrac elle-même, au sein du mouvement Libération où elle est engagée, est principalement affectée à la distribution de tracts, de brochures et de journaux clandestins qu’elle n’a pas nécessairement contribué à rédiger.
La plupart des femmes ont donc accompli dans la clandestinité les fonctions qu’elles occupaient traditionnellement dans la vie quotidienne, au sein du foyer. Elles sont ainsi des milliers pendant la guerre à héberger, nourrir et prodiguer des soins aux résistants traqués, aux évadés, aux aviateurs alliés et autres maquisards. L’importance du foyer familial, de la maison, comme lieu d’une première forme de résistance, a été soulignée par de nombreux historiens.
Dans le sud-ouest de la France, certaines familles sont passées de l’accueil des réfugiés de la guerre d’Espagne en 1939 à ceux du Nord de la France lors de l’exode de juin 1940, puis, sous l’Occupation, à l’hébergement de résistants et agents des forces alliées. Or au centre de la famille et de la maison, du foyer familial, se trouvent les femmes, qui seront en première ligne dans ces missions d’hébergement clandestin.
Avec la complicité de sa mère, la maison familiale de Jeanine Morisse à Auch devient ainsi dès la fin de l’année 1940 un refuge pour des résistants et des agents alliés. Une autre jeune femme, Conchita Ramos, résistante d’origine espagnole, a raconté comment la ferme ariégeoise où elle vit avec sa famille est rapidement devenue une « maison amie », une « maison d’appui » : « Nous recevions des passeurs, des résistants en transit (dont des parachutistes anglais) à qui ma tante fournissait le gîte, le couvert et le ravitaillement nécessaire. Mon rôle, ainsi que celui de ma cousine Marie, consistait à servir de boîte aux lettres et d’agent de liaison. »
Outre le soutien logistique et matériel aux hommes résistants, le rôle d’agent de liaison est sans doute le rôle le plus fréquemment endossé par les femmes résistantes, notamment par les jeunes femmes célibataires qui, n’ayant pas charge de famille, étaient plus libres de leurs mouvements.
Les autorités de Vichy, tout comme les troupes d’occupation, se méfient peu de ces jeunes femmes, ce qui facilite grandement le rôle de « passeuses », ainsi que le raconte Conchita Ramos :
« Le fait d’être une femme, ça aidait beaucoup. Je me suis permis de passer devant la Gestapo et la Kommandantur, d’aller prendre des renseignements, on ne s’est jamais méfié de moi. Les Allemands, surtout en 43, début 44, ils ne se méfiaient pas tellement des femmes, surtout dans les petits endroits. (…) Je prenais le vélo avec le panier comme si j’allais faire des courses. Et puis j’allais là où on m’avait demandé d’aller même si c’était en ville. Jamais personne ne m’a arrêtée. Je passais des contrôles allemands des fois sur la route, ils me regardaient, mais on ne m’a jamais molestée. »
Conchita Ramos est née en 1925 en Espagne d’un père français et d’une mère espagnole. Dès l’âge de deux mois, elle est confiée à ses oncle et tante maternels, les Belata, qui habitent Toulouse et vont l’élever comme leur propre fille. En 1940, au moment de la défaite et du début de l’Occupation, Conchita Ramos n’est qu’une jeune fille de quinze ans qui va encore au lycée ; elle se souvient toutefois que ses parents ont été révoltés par le discours du maréchal Pétain le 17 juin, et dégoûtés par les premières « lois scélérates » adoptées par le régime de Vichy à l’été et l’automne 1940 – notamment la loi sur les sociétés secrètes du 13 août 1940, et le premier statut des Juifs adopté le 3 octobre de la même année.
Les Beleta possèdent une maison en Ariège, près de Varilhes : à Pâques 1942, la famille quitte Toulouse pour s’y installer, et l’oncle de Conchita entre progressivement dans la résistance, parvenant à faire évader des prisonniers internés dans le camp voisin du Vernet. La ferme des Beleta devient rapidement un asile pour les évadés, mais aussi pour les résistants et agents alliés qui viennent s’y réfugier avant de tenter de passer en Espagne. Le 24 mai 1944, à la suite d’une dénonciation, Conchita Ramos est arrêtée ainsi que sa tante et sa cousine. D’abord incarcérées à la prison de Foix, les trois femmes sont transférées à la prison Saint-Michel de Toulouse, puis déportées à Ravensbrück.
En 1972, plus de vingt-cinq ans après son retour des camps, Conchita Ramos commence à témoigner régulièrement de son expérience auprès des publics scolaires, consciente néanmoins qu’on ne peut pas tout dire : « Nous ne parlons de certains drames qu’entre déportés. En effet, nous avons peur que certains prétendent que ce que nous affirmons est faux car c’est horrible. Il est, de plus, difficile de trouver les mots justes, ceux qui ne choquent pas. »
Les femmes résistantes ont ainsi exercé au sein de la Résistance des activités tout aussi importantes que celles des hommes, mais sans doute moins spectaculaires. Toutefois il n’y a pas de « petits actes » de résistance, car les risques sont les mêmes quelle que soit la forme prise par la lutte contre l’occupant : l’arrestation, parfois accompagnée de séances de torture, et souvent suivie de la déportation dans un camp – plusieurs centaines de résistantes françaises ont ainsi été internées à Ravensbrück.
Certes, l’expérience résistante est demeurée marginale pour les femmes, plus encore que pour les hommes : représentant environ 15% des effectifs combattants en lutte contre l’occupant, les femmes ne sont qu’un peu plus de 10% à avoir reçu la médaille de la Résistance à l’issue du conflit, et six femmes seulement – sur 1038 – se sont vu décerner le titre de « Compagnon de la Libération » créé dès 1940 par le général de Gaulle.
De plus, la figure de la résistante a été en partie éclipsée, dans la mémoire collective, par celle de la « tondue », vouée aux gémonies pour avoir entretenu des relations coupables avec l’ennemi.
Cependant, pour les dizaines de milliers de femmes qui ont rejoint les rangs de l’« armée des ombres » entre 1940 et 1944, l’expérience résistante a représenté une forme d’émancipation, une opportunité unique de s’engager politiquement, à une époque où les femmes n’étaient ni électrices, ni éligibles – en effet, c’est seulement le 21 avril 1944 qu’une ordonnance du Gouvernement provisoire de la République confèrera le droit de vote aux Françaises.
Laissons une dernière fois pour terminer la parole à Conchita Ramos : « La femme pendant l’Occupation, elle a commencé à trouver sa liberté. (…) Elle a commencé à dire “Je fais ça, ça me plaît”. Alors qu’avant elle était beaucoup plus soumise par le système de société. L’Occupation a créé un monde où la femme a pu choisir elle-même comment elle voulait mener sa vie. »
La Libération
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kourdane (21-02-2024 11:48:23)
La résistance a existé dans des conditions extrêmement difficiles en Moselle et en Alsace annexées. Je peux citer le réseau Mario en Moselle et la main noire a Strasbourg en hommage aux Choll... Lire la suite
C.M. (06-03-2022 22:17:10)
Parmi les nombreuses résistantes de l'ombre, on peut ajouter deux religieuses de la congrégation des Filles de Béthanie, au prieuré de la rue de la Santé à Paris, au 127 (démoli de nos jours) ... Lire la suite
Zvi LEVY (17-05-2021 20:05:48)
La photo de De Gaulle passant en revue des femmes de La France libre, n'a rien à voir avec la résistance. De Gaulle n'était ni résistant, ni combattant de l'ombre. Il était le chef de La France ... Lire la suite