Le chien

Un compagnon indispensable

Мir Afzal Tuni, Dame alanguie observant son chien laper du vin, vers 1640, Londres, British Museum

Mon semblable, mon frère

Il faut dire que notre animal est un de ceux qui présentent les comportements les plus proches de l'homme, comme le remarquait déjà sans malice Élien le Sophiste : « L'homme et le chien sont les seuls êtres qui éructent après avoir mangé jusqu'à satiété » (Histoire variée, IIIe siècle) !

Symbole de la fidélité, ce qui lui vaut d'être reproduit aux pieds des jeunes mariés ou des gisants, il est celui qui protège les occupants de la maison. Les Romains aimaient d'ailleurs prévenir leurs visiteurs en inscrivant sur leur seuil : cave canem (prends garde au chien) ! Les plus riches s'offraient des molosses venus d'Inde, laissant aux plus démunis les cacardements des oies.

Edwin Landseer, Suspense, 1834, Londres, Victoria and Albert MuseumLorsque, au Moyen Âge, la vie des châteaux devint plus douce, le chien, dans un format de plus en plus réduit, s'installa auprès de ces dames comme animal de compagnie, engouement qui n'a jamais faibli. Coquettes Versaillaises, écrivains romantiques, présidents américains, tous veulent Médor à leur côté !

Les exemples de liens profonds entre le chien et son maître sont légion. Le spirituel Fontenelle : « Plus je regarde les hommes, plus j'aime mon chien ».

Ces liens concernent aussi bien les souverains comme la reine Victoria qui attendit en ronchonnant la fin de son couronnement pour filer donner le bain à son épagneul Dash, jusqu'à l'ancien jardinier John Gray qui fut veillé après sa mort pendant 14 ans par un Skye terrier nommé Bobby, installé sur sa tombe au cimetière d'Édimbourg.

Être chien à Paris au XVIIIe siècle

« Les femmes du peuple ont des chiens qui font des ordures dans les escaliers, et l'on se passe mutuellement cette dégoûtante malpropreté, parce qu'à Paris on aime mieux voir des chiens que des escaliers propres... Point de misérable qui n'ait dans son grenier un chien pour lui tenir compagnie. On en interrogeait un qui partageait son pain avec ce fidèle camarade : on lui représentait qu'il lui en coûtait beaucoup à nourrir, et qu'il devrait se séparer de lui. Me séparer de lui, dit-il, et qui m'aimera ? »

La folie des femmes est poussée au dernier point sur cet article. Elles sont devenues gouvernantes de roquets, et ont pour eux des soins inconcevables. Marchez sur la patte d'un petit chien, vous êtes perdu dans l'esprit d'une femme. Elle pourra dissimuler, mais elle ne vous le pardonnera jamais: vous avez blessé son manitou […]. Et ce qu'on ne voit qu'à Paris, ce sont de grands imbéciles qui, pour faire la cour à des femmes, portent leur chien publiquement sous le bras dans les promenades et dans les rues ; ce qui leur donne un air si niais et si bête qu'on est tenté de leur rire au nez pour leur apprendre à être des hommes » (Sébastien Mercier, Tableau de Paris, 1781).

Jean-Honoré Fragonard, Jeune fille jouant avec un chien, vers 1765-1772, Paris, Fondation Cailleux

Énergique et vif !

L'avantage du chien, c'est qu'il est plus agile que le cheval, plus intelligent que le bœuf, plus rapide que la chèvre... Bref, on s'est vite aperçu qu'on pouvait se servir de l'intelligence et de l'énergie de ce gentil futé.

Tournebroche actionné par un chien, au-dessus de l'âtre (château du Moulin, Lassay-sur-Croisne, Loir-et-Cher), photo : André Larané, Herodote.netAurions-nous jamais pu domestiquer les bovins furieux et les chèvres agiles sans le recours à ce gardien vigilant ?

Mais au fil du temps, notre compagnon à quatre pattes se voit confier des missions bien plus variées que la garde des troupeaux.

Ainsi, on l'embarque dans une roue, tel un vulgaire hamster, pour actionner tournebroches, soufflets, meules de ramoneurs, et même machines à coudre !

Dans les cuisines, encore aujourd'hui, il arrive d'entendre des mitrons lancer à la cantonade : « Marre de travailler comme un chien de cuisine ! » Preuve que la vie n'était pas rose pour ces chiens.

Très nombreux dans les cuisines bourgeoises d'antan, les chiens tournebroches inpirent la pitié et suscitent la création des premières sociétés protectrices d'animaux au début du XIXe siècle.

Mis au  chômage par l'arrivée des tournebroches électriques, ils vont néanmoins se perpétuer en donnant des races à corps allongé comme les teckels ou les corgis...

Chez les couteliers de Thiers (Puy-de-Dôme), des chiens réchauffent les jambes des rémouleurs (carte postale, début du XXe siècle)

Et puisqu'il a de l'énergie à revendre, pourquoi ne pas lui faire tirer quelques traîneaux dans la neige de l'Alaska ou des voitures d'enfant dans les allées du jardin des Tuileries ?

3 novembre 1957, la chienne Laïka devient le premier être vivant à aller dans l'espaceN'oublions pas que le chien est un grand voyageur : ce n'est pas la mignonne Laïka, propulsée dans l'espace à bord de Spoutnik 2 le 3 novembre 1957, qui nous contredira !

Presque 200 ans auparavant, l'aéronaute Jean-Pierre Blanchard avait lui aussi envoyé en l'air quelques spécimens et expérimenté ses premiers parachutes avec des chiens... mais ils ne furent jamais retrouvés !

Affiche Chiens boxeurs, 1885, Paris, BnFLa force de l'animal en fait aussi un ennemi redouté. Depuis l'Antiquité, il est entraîné pour se donner en spectacle lors de combats ou suivre les soldats au cœur de la bataille.

Les Romains n'hésitaient pas à équiper leurs « chiens pugnaces » de colliers à pointes ou à leur fixer sur le dos lames acérées et feux grégeois.

À la Renaissance, ce soldat à quatre pattes est toujours là pour sauter aux museaux des chevaux ennemis, avant de prendre le chemin de l'Amérique où des meutes entières terrifièrent les populations indigènes puis les esclaves en fuite.

Sentinelle, estafette, démineur ou « ambulancier », le chien a plus tard payé lui aussi son tribut à la Grande Guerre.

Aujourd'hui, il continue à nous rendre service en prêtant main-forte aux secouristes, aux douaniers ou aux aveugles. Bon sang ne saurait mentir !

Lesbonit (?), Chien ambulancier, carte postale du début de la guerre 1914-18 (propagande de mauvais aloi)
Guy de Maupassant, « Pierrot » (Les Contes de la bécasse, 1882)

[Pour se protéger des voleurs, Mme Lefrèvre et sa bonne ont adopté un chien, Pierrot].
Tout le monde pouvait entrer dans le jardin. Pierrot allait caresser chaque nouveau venu, et demeurait absolument muet. Mme Lefèvre cependant s'était accoutumée à cette bête. Elle en arrivait même à l'aimer, et à lui donner de sa main, de temps en temps, des bouchées de pain trempées dans la sauce de son fricot. Mais elle n'avait nullement songé à l'impôt, et quand on lui réclama huit francs, - huit francs, Madame ! - pour ce freluquet de quin [« chien »] qui ne jappait seulement point, elle faillit s'évanouir de saisissement.
Il fut immédiatement décidé qu'on se débarrasserait de Pierrot. [Le chien est jeté dans un puits]
[La bonne proposa] : « Si on lui jetait à manger, à ce pauvre quin, pour qu'il ne meure pas comme ça ? ».
Mme Lefèvre approuva, toute joyeuse ; et les voilà reparties, avec un gros morceau de pain beurré. Elles le coupèrent par bouchées qu'elles lançaient l'une après l'autre, parlant tour à tour à Pierrot. Et sitôt que le chien avait achevé un morceau, il jappait pour réclamer le suivant.
Elles revinrent le soir, puis le lendemain, tous les jours. Mais elles ne faisaient plus qu'un voyage.
Or, un matin, au moment de laisser tomber la première bouchée, elles entendirent tout à coup un aboiement formidable dans le puits. Ils étaient deux ! on avait précipité un autre chien, un gros !
Rose cria : « Pierrot ! » Et Pierrot jappa, jappa. alors on se mit à jeter la nourriture ; mais, chaque fois elles distinguaient parfaitement une bousculade terrible, puis les cris plaintifs de Pierrot mordu par son compagnon, qui mangeait tout, étant le plus fort.
Elles avaient beau spécifier : « C'est pour toi, Pierrot ! », Pierrot, évidemment, n'avait rien.
Les deux femmes, interdites, se regardaient ; et Mme Lefèvre prononça d'un ton aigre : « Je ne peux pourtant pas nourrir tous les chiens qu'on jettera là dedans. Il faut y renoncer ».
Et, suffoquée à l'idée de tous ces chiens vivants à ses dépens, elle s'en alla, emportant même ce qui restait du pain qu'elle se mit à manger en marchant.
Rose la suivit en s'essuyant les yeux du coin de son tablier bleu.

Dopter, Position imposée aux chiens pour ne pas être imposés, s. d., Paris, BnF

Le chien : une simple chose...

La question divise depuis l'Antiquité : les animaux ont-ils une âme ? Peuvent-ils souffrir, ou sont-ils semblables à des objets ? Les deux camps s'opposent chez les Grecs, avec d'un côté les adeptes de la réincarnation (Plutarque) et de l'autres les scientifiques refusant toute sensibilité à leurs supports de vivisection.

Briton Rivière, Sympathie, 1892, Londres, Tate CollectionAu XVIe siècle, Descartes est convaincu qu'ils ne sont que des machines dénuées de raison et donc subordonnées à l'homme : « Regardez, ce n'est pas différent d'une horloge qui sonne l'heure » (Nicolas Malebranche) ! Malgré les appels à la bienveillance du temps des Lumières, le chien est officiellement désigné dans le code civil de 1804 comme une chose : « sont meubles par nature, les corps qui peuvent se transporter d'un lieu à un autre, [qui] se meuvent par eux-mêmes comme les animaux […] ».

Ils constituent donc une propriété privée que l'on n'hésite pas à maltraiter, voire à supprimer lorsque l'État a la fâcheuse idée en 1855 de taxer ladite chose.

Les conséquences ne se font pas attendre : l'industrie des gants en peau canine explose alors que la fourrière ne sait plus où donner de la tête.

La SPA (Société Protectrice des Animaux), fondée en 1845, peine à changer les mentalités et ce n'est qu'en 1959 qu'une amende conséquente est prévue pour mauvais traitements. Enfin, en 1976, on reconnaît au chien sa nature d'être vivant doué de sensibilité. L'animal-chose cède enfin la place à l'animal-sensible !

Jules Vallès, L'Enfant (1889)

Myrza mourut en faisant ses petits, et l’on m’a appelé imbécile, grand niais, quand, devant la petite bête morte, j’éclatai en sanglots, sans oser toucher son corps froid et descendre le panier en bas comme un cercueil !
J’avais demandé qu’on attendît le soir pour aller l’enterrer. Un camarade m’avait promis un coin de son jardin.
Il me fallut la prendre et l’emporter devant ma mère, qui ricanait. Bousculé par mon père, je faillis rouler avec elle dans l’escalier. Arrivé en bas, je détournai la tête pour vider le panier sur le tas d’ordures, devant la porte de cette maison maudite. Je l’entendis tomber avec un bruit mou, et je me sauvai en criant :
« Mais puisqu’on pouvait l’enterrer ! » C’était une idée d’enfant, qu’elle n’eût point la tête entaillée par la pelle du boueux ou qu’elle ne vidât pas ses entrailles sous les roues d’un camion ! Je la vis longtemps ainsi, guillotinée et éventrée, au lieu d’avoir une petite place sous la terre où j’aurais su qu’il y avait un être qui m’avait aimé, qui me léchait les mains quand elles étaient bleues et gonflées, et regardait d’un œil où je croyais voir des larmes son jeune maître qui essuyait les siennes…

Auguste Renoir, Madame Georges Charpentier et ses enfants, 1878, New York, The Metropolitan Museum of Art

Le meilleur ami de mon canapé

Mais comment a-t-il fait pour devenir indispensable ? Alors que son rôle se limite de plus en plus à nous tenir compagnie, le chien est partout. Dans les rues, sur les écrans, sur le lit... On peut remercier la reine Victoria ! Des officiers anglais ont eu en effet la bonne idée de lui offrir un exemplaire des petits chiens pékinois qu'ils avaient trouvés lors de la prise du Palais d'Été de Pékin (1860). La mode du chien d'intérieur, choisi non plus pour ses qualités physiques mais pour son esthétique, est lancée.

La nouvelle bourgeoisie, toujours à la recherche d'une façon de se distinguer, multiplie les races (près de 400 aujourd'hui) et les excentricités. « Rapetissé » pour loger dans les appartements, Médor prend une place de plus en plus grande dans les familles où il est souvent considéré comme le petit dernier, au point que la question de l'inhumation de la « bête à chagrin » a commencé à se poser.

Le cimetière des chiens (Asnières), DRAu début du XXe siècle, plus question de jeter la dépouille de l'animal à la rivière, comme c'était jusqu'alors l'habitude. En 1898 s'ouvre en France le premier cimetière pour les animaux domestiques dont les maîtres, refusant l'autre solution de l'époque, ne souhaitaient pas conserver dans leur bureau le corps empaillé.

N'oublions pas également que le chien, qui fait vivre tout un secteur de l'économie, subit l'évolution de la société, et qu'il faut bien souvent que la justice s'en mêle : combien d'héritiers se sont insurgés de voir Pupuce bénéficier du pactole, combien de couples séparés se sont déchirés pour la garde de Trésor ? L'histoire n'est pas finie : certains pensent sérieusement à conserver auprès d'eux leur compagnon à poils... en le faisant cloner !

Amélie Galup, Équipage de chiens, 1895, Charenton-le-Pont, Médiathèque de l'Architecture et du Patrimoine
Baudelaire, « Les Bons chiens » (Petits poèmes en prose, 1864)

[…] J'invoque la muse familière, la citadine, la vivante, pour qu'elle m'aide à chanter les bons chiens, les pauvres chiens, les chiens crottés, ceux-là que chacun écarte, comme pestiférés et pouilleux, excepté le pauvre dont ils sont les associés, et le poète qui les regarde d'un œil fraternel. Fi du chien bellâtre, de ce fat quadrupède, danois, king-charles, carlin ou gredin, si enchanté de lui-même qu'il s'élance indiscrètement dans les jambes ou sur les genoux du visiteur, comme s'il était sûr de plaire, turbulent comme un enfant, sot comme une lorette, quelquefois hargneux et insolent comme un domestique ! Fi surtout de ces serpents à quatre pattes, frissonnants et désœuvrés, qu'on nomme levrettes, et qui ne logent même pas dans leur museau pointu assez de flair pour suivre la piste d'un ami, ni dans leur tête aplatie assez d'intelligence pour jouer au domino! A la niche, tous ces fatigants parasites ! Qu'ils retournent à leur niche soyeuse et capitonnée ! Je chante le chien crotté, le chien pauvre, le chien sans domicile, le chien flâneur, le chien saltimbanque, le chien dont l'instinct, comme celui du pauvre, du bohémien et de l'histrion, est merveilleusement aiguillonné par la nécessité, cette si bonne mère, cette vraie patronne des intelligences ! Je chante les chiens calamiteux, soit ceux qui errent, solitaires, dans les ravines sinueuses des immenses villes, soit ceux qui ont dit à l'homme abandonné, avec des yeux clignotants et spirituels : Prends-moi avec toi, et de nos deux misères nous ferons peut-être une espèce de bonheur ! […].

Victor Peter, Chienne défendant ses petits contre une vipère en 1904, Paris, musée d'Orsay

Et pour conclure, quelques expressions... qui ont du chien !

- Il n'y a toujours que trop de chiens autour d'un os.
- Comme un chien dans un jeu de quilles.
- Garder un chien de sa chienne.
- Chien qui aboie ne mord pas.
- Les chiens ne font pas des chats.
- Qui hante chien, puces remporte.
- Pendant que le chien pisse, le lièvre fuit.
- Nom d'un chien !
- « Chien hargneux a toujours l'oreille déchirée » (Jean de La Fontaine).
- « Qui veut noyer son chien l'accuse de la rage » (Molière).
- « Le chien a son sourire dans sa queue » (Victor Hugo).
- « Mon chien est insupportable, mais je le garde pour des raisons sentimentales : mon mari le déteste » (Juliette Récamier).
- « Entre le chien, et son maître, il n'y a que le saut d'une puce » (Jules Renard).
- « Ce qu'il y a de meilleur dans l'homme, c'est le chien » (Maxime du Camp).
- « Si je préfère les chats aux chiens, c’est parce qu’il n’y a pas de chat policier » (Jean Cocteau).
- «  Le célibataire vit comme un roi et meurt comme un chien, alors que l'homme marié vit comme un chien et meurt comme un roi » (Jean Anouilh).
- «  Un bon chien vaut mieux que deux kilos de rats » (Boris Vian).
- « Mon chien est athée : il ne croit plus en moi » (François Cavanna).
- « On croit qu'on amène son chien pisser midi et soir. Grave erreur : ce sont les chiens qui nous invitent deux fois par jour à la méditation » (Daniel Pennac).

Raymond Devos, Mon chien, c’est quelqu’un.

Pablo Picasso, Le Chien, s. d., s. l.Depuis quelque temps, mon chien m'inquiète... Il se prend pour un être humain et je n'arrive pas à l'en dissuader. Ce n'est pas tellement que je prenne mon chien pour plus bête qu'il n'est... Mais qu'il se prenne pour quelqu'un, c'est un peu abusif ! Est-ce que je me prends pour un chien, moi ? Quoique, quoique...
Dernièrement, il s'est passé une chose troublante qui m'a mis la puce à l'oreille !
Je me promenais avec mon chien que je tenais en laisse... Je rencontre une dame avec sa petite fille et j'entends la dame qui dit à sa petite fille : « Va ! va caresser le chien ! » Et la petite fille est venue me caresser la main !
J'avais beau lui faire signe qu'il y avait erreur sur la personne, que le chien, c'était l'autre... La petite fille a continué à me caresser gentiment la main...
Et la dame a dit : « Tu vois qu'il n'est pas méchant ! »
Et mon chien qui ne perd jamais une occasion de se taire... a cru bon d'ajouter : « Il ne lui manque que la parole, Madame ! »
Ça vous étonne, hein ? Eh bien moi, ce qui m'a le plus étonné, ce n'est pas que ces dames m'aient pris pour un chien... Tout le monde peut se tromper ! Mais qu'elles n'aient pas été autrement surprises d'entendre mon chien parler ! Alors là... Les gens ne s'étonnent plus de rien. [...]

Sources bibliographiques

Christel Matteï, 100 chiens de légende, 2001, éditions Solar.

Victoria Vanneau, Le Chien. Histoire d'un objet de compagnie, 2014, éditions Autrement.

Joan Miro, Chien aboyant à la lune, 1926, Philadelphia, Philadelphia Museum of Art
Publié ou mis à jour le : 2023-04-27 14:24:18

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