À la tête d'une ville très endettée et où explosent les contrastes entre beaux quartiers et quartiers tiers-mondisés, la maire de Paris a pu redorer son blason par la grâce des Jeux Olympiques. Forte de ce succès, elle a choisi d'en fixer le souvenir pour l'éternité en maintenant à demeure les cinq anneaux olympiques accrochés à la Tour Eiffel.
Didier Rykner, directeur de La Tribune de l'Art et sévère contempteur de la maire de Paris, dénonce cette entorse flagrante à la législation qui protège le patrimoine national dans un texte au vitriol : Anne Hidalgo, la Señora des Anneaux...
Verrons-nous de nouveaux bibelots s'ajouter aux anneaux au prochain événement qui unira les Parisiens dans la joie (ou l'affliction) : ballon de foot, drapeau ukrainien, etc.
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