Qui dit aristocratie dit honneur et qui dit honneur dit duel... Issus en droite ligne de l'idéal chevaleresque, les duels sont l'un des ressorts dramatiques les plus efficaces des romans de cape et d'épée. Dans la réalité, ils étaient... interdits, tant par l'église, qui y voyait un homicide ou un suicide, que par le Roi, dont l'autorité était ainsi bafouée. Mathilde Dillmann raconte ici le destin d'une pratique qui a perduré jusqu'au XXe siècle.