Tous aux abris ! Le reflexe est enfantin mais efficace : à l'approche de l'ennemi, mieux vaut se cacher... Et pourquoi pas sous terre ? C'est ainsi que des générations de paysans ou de combattants se sont blottis dans des abris souvent de fortune, mais toujours réalisés avec une belle habileté.
Ces souterrains n'ont pas été de simples tanières, puisque certains ont même joué un rôle stratégique majeur dans plusieurs conflits d'envergure. À l'heure où Israël s'interroge sur la politique à adopter pour venir à bout des tunnels du Hamas, à Gaza, plongeons à notre tour dans le labyrinthe des galeries obscures.
Dédales d'outre-tombe
« Catacombas » : voilà un endroit bien étrange, situé près de la Via Appia de Rome et baptisé d'après la présence de ces « cavités d'en bas » qui vont en faire la renommée. Creusées dans un beau tuf volcanique, ces galeries avaient à l'origine pour vocation d'accueillir les cadavres, indésirables dans les murs de la Ville éternelle.
À la façon des Étrusques, les populations juives puis chrétiennes de la cité vont s'employer à creuser, à la fin du IIe siècle, pour offrir à leurs défunts des niches funéraires disposées dans des galeries de plus en plus longues et organisées.
Lorsque les persécutions impériales s'intensifient sous l'empereur Valérien (IIIe siècle), les catacombes se transforment en lieux de rassemblement et de recueillement autour des corps des premiers martyrs. Mais oublions Quo vadis !
Si les Chrétiens opprimés y célébrèrent bien leur culte, ils ne s'y installèrent pas pour survivre. Solutions de repli pour une religion en danger, ces souterrains devinrent à leur redécouverte au XIXe siècle des symboles très romantiques de la menace et du mystère.
Au Ve siècle, saint Jérôme séjourne à Rome durant quelques années. C'est pour lui l'occasion de visiter les fameuses catacombes...
« Nous entrions dans les galeries creusées dans les entrailles de la terre peuplées de sépultures […]. De très rares lumières provenant de l’extérieur atténuaient un peu l’obscurité, mais la lumière était si faible qu’elle semblait provenir d’une fissure et non d’un lucernaire. Nous avancions lentement, un pas après l’autre, tout enveloppés des ténèbres, et les mots de Virgile nous venaient à l’esprit : “Partout l’horreur et le silence même terrifient nos âmes” » (Commentaire sur Ézéchiel, Ve siècle).
Sous les pas des cavaliers arabes
C'est un paysage lunaire qui cache bien ses trésors. La Cappadoce, au centre de la Turquie, se caractérise par un sol formé de tuf volcanique dans lequel, très tôt, paysans et moines ont bâti leurs habitats.
Lorsque, au VIIe siècle, ces troglodytes byzantins voient surgir les tribus arabes, ils n'hésitent pas longtemps et se mettent à agrandir le réseau de salles qui forment déjà de véritables forteresses souterraines, les matamir.
S'enfonçant jusqu'à 45 mètres de profondeur, ces villes-labyrinthes pouvaient accueillir en cas d'alerte dans leurs multiples pièces, au confort sommaire, les familles avec leur bétail ; les réserves de grain, quant à elles, restaient cachées dans des sortes de silos permanents.
Trous d'aération, puits, lampes à huile rendaient la vie supportable jusqu'à ce que les bruits d'éventuelles attaques se fassent entendre. Il ne restait plus alors aux occupants qu'à faire confiance aux lourdes portes en pierre en forme de disque qui avaient été disposées pour fermer les boyaux d'accès, laissant aux défenseurs l'espace d'un judas pour épier l'ennemi et lui décocher des traits.
Bien à l'abri sous terre, c'est ainsi que pendant près de 8 siècles les paysans de Cappadoce se protégèrent des razzias en jouant au chat et à la souris avec des envahisseurs trop pressés pour chercher à les déloger de leurs trous... de souris.
Parmi tous les souterrains connus, il y en a certains qui laissent encore les chercheurs dubitatifs : il s'agit de ces 10 % de galeries qui se referment sur elles-mêmes, en forme d'anneau, totalement inadaptées au stockage comme à l'habitat. Quel intérêt alors ? Datées de la seconde moitié du Moyen Âge, elles auraient une fonction religieuse remontant aux temps les plus anciens, lorsque les Hommes rendaient un culte à la Terre-Mère.
Pour les croyants, le lien entre spiritualité et monde souterrain n'a rien d'inhabituel : si l'on discute encore du rôle joué par les grottes peintes à la Préhistoire, on sait que le sous-sol a toujours été présenté comme le lieu de séjour habituel de toutes sortes de créatures, bienfaisantes ou infernales. Pragmatique, le Christianisme a lui aussi investi certaines cavités en y faisant d'abord vivre ses ermites avant d'y construire des lieux de culte, comme à Saint-Émilion, en Gironde. Certains projets peuvent néanmoins avoir pour origine une petite jalousie : c'est ainsi que le vicomte d'Aubeterre (XIIe siècle), en Charente, eut la drôle d'idée de reproduire sur ses terres les réalisations étranges qu'il avait vues en Cappadoce ! Quant aux 11 églises taillées dans la roche à Lalibela (XIIe siècle), en Éthiopie, elles sont censées reproduire les hauts lieux de la Terre Sainte.
« Aux aveugles rochers les affligés séjournent » (Agrippa d'Aubigné)
Il ne faisait pas toujours bon vivre dans le grand ouest de la France au XIVe siècle. La guerre de Cent ans était là avec ses gens d'armes qui pillaient les campagnes et massacraient ses habitants.
Pour le Prince Noir, rien de tel que de ravager le pays ennemi en y laissant libre cours à ses troupes d'hommes très mobiles. Et lorsque les Anglais finissent par être vaincus au milieu du XVe siècle, ce sont les guerres de Religion qui prennent le relais !
Faute d'État fort capable de les protéger, les habitants des campagnes commencent à se dissimuler dans des souterrains-refuges pour attendre que les pillards aient fini leur ouvrage. Petit à petit, les terres de l'Ouest vont se transformer en gruyère avec des galeries plutôt rustiques reliant quelques salles creusées dans le calcaire. À chaque famille, à chaque hameau d'évider la sienne !
On en trouvait également sous les bourgs avec pour point de départ les églises, fortifiées pour résister à cette époque tourmentée. Munies d'un bon goulot d'étranglement pour éviter toute intrusion, simplement éclairés par quelques niches accueillant chandelles ou lampes à graisse et ventilés par de discrètes rainures verticales, ces refuges permettaient de protéger les habitants mais aussi les animaux et les céréales. Ne restait plus aux pilleurs qu'à aller voir plus loin...
Dans le Nord de la France, une réponse similaire fut donnée aux attaques de soudards avec l'aménagement de carrières, voire le creusement de véritables villages souterrains avec leurs rues permettant d'aller d'une « chambre » familiale à une autre. C'est ainsi que le muche (du picard « mucher », cacher) de Talmas (Picardie, XVIe siècle) ne comptait pas moins d'une centaine de salles !
Témoin de la détresse des paysans pendant les guerres de religion, le poète Agrippa d'Aubigné n'oublie dans ses Tragiques de faire allusion à l'asile ultime que la terre pouvait leur proposer :
« La terre semble donc, pleurante de souci,
Consoler les petits en leur disant ainsi :
Enfans de ma douleur, du haut ciel l’ire esmeuë [émue]
Pour me vouloir tuer premierement vous tuë.
Vous languissez, et lors le plus doux de mon bien
Va saoulant de plaisirs ceux qui ne vallent rien.
Or attendant le temps que le ciel se retire
Ou que le Dieu du Ciel destourne ailleurs son ire
Pour vous faire gouster de ses douceurs apres,
Cachez-vous sous ma robbe en mes noires forests ;
Et, au fond du malheur, que chacun de vous entre,
Par deux fois mes enfans, dans l’obscur de mon ventre » (Les Tragiques, 1616).
Guerre moderne, cachettes artisanales
Si les hommes de l'ancien temps craignaient davantage la soldatesque que les canons, avec la guerre de tranchées qui se met en place en 1916 les priorités changent. Il faut s'enterrer sous terre pour s'abriter contre obus et mitrailles, et pour cela associer solidité, pérennité et discrétion.
Par chance, les terrains du Nord, de la Picardie et de la Champagne s'y prêtent bien avec leur calcaire, déjà largement exploité dans de vastes carrières. D'abord très sommaires, ces abris ont été petit à petit aménagés pour apporter un tant soit peu de confort aux confinés, notamment aux officiers qui y bénéficiaient de véritables « appartements ».
Les simples soldats, eux, vivaient dans une promiscuité morbide, et tuaient le temps en confiant aux roches leurs états d'âme. « Guillaume kapout ! » Mais le 16 avril 1917, c'est bien l'Allemagne qui est la plus habile : blottis dans les souterrains aménagés au Chemin des Dames, ses soldats laissent tranquillement passer les Poilus au-dessus de leurs têtes avant de les prendre à revers.
Malgré toute son obstination, le général Nivelle ne parviendra pas à se rendre totalement maître des « creutes » ennemies, et y laissera son poste. Ce désastre montre le rôle majeur que jouèrent ces souterrains dans cette guerre, prouve que la technologie n'est pas l'arme ultime puisqu'elle peine à sortir vainqueur de son combat contre ces fourmilières.
Le 3 juin 1917, le lieutenant Donzeau se trouve dans un abri sur le plateau de Californie (Chemin des Dames) lorsque les bombardements commencent...
« De forts ébranlements secouaient furieusement les cadres et la sape vibrait comme une cage métallique. Instinctivement nos regards se portaient au plafond. Sur un coup plus fort, la bougie vacilla ; une forte odeur de poudre se répandit, rendant l’air suffocant. Le martèlement continuait, et nous attendions, angoissés, le dénouement d’une situation déjà vécue par plusieurs d’entre nous.
Brusquement, les deux entrées cédèrent. Ce fut un éboulement de terre, de pierres, de pièces de bois et nous fûmes plongés dans l’obscurité la plus complète. De toutes les poitrines jaillit un cri d’horreur, puis ce fut le grand silence.
La bougie est rallumée, je vois des figures crispées, anxieuses.
« Vite aux entrées ! » Chacun se précipite avec un outil pour dégager les escaliers. Peines perdues, les déflagrations rejettent au fond de la sape les hommes sur qui tombent pierres et poutres. […]
De l’air, il faut de l’air à tout prix. Les oreilles bourdonnent, certains, à demi ensevelis, sont évanouis ; d’autres, plus vigoureux, sondent les parois avec une longue perche. J’encourage ces braves gens et tout à coup une lueur indécise éclaire l’escalier, le mur de la prison est traversé.
Le trou est agrandi ; une bouffée d’air pur pénètre dans la sape, nous ranimant tous. Les moribonds commencent à se mouvoir, tous les yeux se portent sur cette lumière, sur ce coin d’un ciel qu’on n’espérait plus revoir » (cité par Jérôme et Laurent Triolet dans La Guerre souterraine).
David contre Goliath
Près de 50 ans après le premier conflit mondial, c'est dans un autre type de guerre que l’Occident put réaliser à quel point il était difficile de lutter contre un ennemi invisible.
C'est en Chine, pendant la guerre contre les Japonais, que serait née la technique des dia dao, si l'on en croit l'origine chinoise du mot (« terre » et « chemin »). Puis elle gagna le Vietnam où des refuges familiaux se transformèrent vite en un réseau de galeries destinées à accueillir armes et combattants Viêt Nimh en toute discrétion.
Réorganisées pendant le conflit contre les États-Unis, ces galeries se transformèrent dans le nord en refuges pour les villageois tandis que dans le sud du pays, ces espaces de petit gabarit et peu aménagés avaient davantage pour but de permettre le déplacement et la dissimulation des maquisards, même s'ils n'y étaient guère protégés contre les bombardements.
Certains jouèrent un rôle considérable dans la guerre, à l'exemple de ceux de Cu Chi, points d'arrivée de la piste Hô Chi Minh, qui s'étendaient sur 300 kilomètres et plusieurs niveaux et servirent de base au Viêt Công lors de l'attaque de Saigon (1968). Comment en venir à bout ?
Les Américains choisirent la méthode forte en commençant par des épandages de défoliant avant de passer au bombardement massif. Peine perdue : en trente ans de guerre, les Vietnamiens sous-équipés, cachés dans leurs labyrinthes, parvinrent à rester maîtres du terrain en se transformant en ennemi insaisissable.
S'engager dans un trou, sans visibilité, au risque de se trouver face-à-face avec l'ennemi... Quel courage ! Sans compter que les « Tunnel Rats » qui composaient les commandos spécialisés dans l'exploration des galeries pouvaient à tout moment se retrouver simplement... coincés ! C'est la mésaventure qui est arrivée au démineur Courtney Martin, pendant la guerre du Vietnam :
« Après avoir réalisé que j'étais coincé, j'ai éteint ma lampe et j'ai continué à me démener. L'obscurité m'enveloppait totalement.[...] Le boum-boum de mon cœur qui battait résonnait bruyamment dans mes oreilles. Je me demandais si l'ennemi pouvait l'entendre aussi. Je transpirais abondamment et j'étais au bord de l'évanouissement à cause du manque d'oxygène et de l'effort intense. […] Je me suis répété sans arrêt : « Reste calme ! Reste calme ! Si tu t'énerves, tu vas t'éclater un vaisseau et pourrir dans ce trou misérable ». [...] Et c'est comme ça, à force de me parler, que j'ai réussi à me sortir doucement du tunnel » (cité par Jérôme et Laurent Triolet dans La Guerre souterraine).
Un métro sous Gaza
C'est paradoxalement un traité de paix qui est à l'origine de la construction de tunnels sous la bande de Gaza : lorsque, en 1979, Israël et l'Égypte se mettent d'accord sur un nouveau tracé de frontière, la ville de Rafah se retrouve coupée en deux : palestinienne au nord, égyptienne au sud.
La circulation entre les deux zones se compliquant d'année en année, des galeries sont creusées dans le sol sableux pour faire passer les personnes puis, rapidement, la contrebande. L'arrivée au pouvoir du Hamas en 2007 ne fait qu'accentuer le phénomène puisque, face au blocus imposé par les deux pays frontaliers, ces tunnels deviennent les seules voies de passage vers l'extérieur de Gaza, permettant au marché noir de maintenir la région sous perfusion.
Les actions menées par Israël et par l'Égypte n'y changent rien : lorsque l'État hébreux riposte en 2023 aux attaques du Hamas, il sait qu'il ne peut prétendre à une victoire tant que le « métro de Gaza » et ses centaines de kilomètres de dédale resteront actifs, protégeant les combattants et leurs centres de commandement, dissimulant les otages israéliens et permettant l'arrivée de ravitaillement et d'armes.
Avec certaines portions qui plongent sur près de 40 mètres sous terre et d'autres qui bénéficient d'un équipement moderne grâce aux milliards de dollars qui y ont été investis, la toile d'araignée a été soigneusement organisée pour résister et durer. Pour Israël, démanteler ce réseau de tentacules sans subir de lourdes pertes est un défi qu'il cherche à relever en associant méthodes anciennes (inondation) et modernes (robots).
À partir de 1993, alors que Sarajevo est assiégée par les Serbes, les soldats de l'armée bosniaque commencent à creuser à la pelle sous une maison. Leur but ? Réaliser un tunnel de 800 mètres pour relier deux quartiers séparés par l'ennemi, et ainsi garder un accès, même précaire, à l'aéroport. Quatre mois plus tard, le « tunnel de l'espoir » est accessible pour permettre aux personnes comme à l'approvisionnement (armes, nourriture, électricité et même fuel grâce à un pipe-line) de passer d'une zone à l'autre. Cette réalisation joua ainsi un rôle considérable dans la guerre puisqu'elle permit à la population de supporter les 1300 jours de siège.
Sape de fond
Attaquer par dessous, une bonne idée ? En tous les cas elle n'est pas nouvelle puisque c'est en allumant des feux dans des galeries creusées sous les murs de Thèbes, en Thessalie, que Philippe II de Macédoine s'empara de la ville (335 av. J.-C.).
Plus tard, Jules César en personne ne put que reconnaître le bien-fondé de la méthode : « À la valeur singulière de nos soldats, les Gaulois opposaient des inventions de toutes espèces. [...] Ils ruinaient notre terrasse, en la minant avec d'autant plus d'habileté qu'ayant des mines de fer considérables, ils connaissent et pratiquent toutes sortes de galeries souterraines » (Guerre des Gaules, Ier siècle av. J.-C.).
Il faut s'inspirer des techniques des mineurs, bien sûr ! Les stratèges du Moyen Âge en étaient d'autant plus convaincus qu'ils ajoutèrent à ce travail de sape l'utilisation de la poudre. Difficile d'y résister ! À moins de développer à son tour des contre-mines pour devancer l'adversaire...
Assiégées, les villes de Maastricht (1673), Sébastopol (1855) ou encore Port-Arthur (1905) furent ainsi le théâtre d'une véritable course de vitesse entre mineurs des deux camps pour détruire ou protéger les fortifications disputées. Mais au XXe siècle cette technique ne put longtemps concurrencer avec une nouvelle méthode, nettement moins dangereuse pour les hommes engagés dans l'opération : l'aviation.
Armes fatales
Pour faire sortir les occupants d'un tunnel, la solution semble simple : l'enfumer. Il est vrai que la technique, dans toute sa cruauté, fut largement utilisée, que ce soit au Moyen Âge ou lors d'un épisode méconnu de la guerre d'Algérie, « la guerre des grottes ».
Déjà, en 1845, le corps expéditionnaire français n'avait pas hésité à asphyxier la population de villages entiers réfugiés sous terre, épisode qui prit le nom d’« enfumades de Dhara ». À partir de 1954, ce sont les combattants indépendantistes que les soldats français du « commando de réduction des grottes » vont chercher à déloger, quitte à utiliser un gaz dont la teneur est encore « secret-défense ».
Près de 25 ans plus tard, les Soviétiques choisirent de leur côté d'utiliser la méthode dite stereophonic blasting consistant à envoyer dans les karez (systèmes d'irrigation) occupés par les combattants afghans des grenades pour créer bruit assourdissant et surpression.
Lors des batailles de Zhawar puis Tora Bora, c'est un déluge de feu que les Américains lancèrent sur les « complexes souterrains » d'Al-Qaida, une démonstration de force qui, vu la solidité du massif rocheux, ne pouvait détruire totalement le réseau.
Est-ce ce sentiment d'impuissance qui poussa, en avril 2017, l'armée américaine de Donald Trump à bombarder les positions de Daesh du nord du pays avec l'arme non nucléaire la plus puissante, la GBU-43/B ? Il fallait bien avoir recours à la « mère de toutes les bombes » pour détruire de simples tunnels...
Bibliographie
Jérôme et Laurent Triolet, La Guerre souterraine, éd. Perrin, 2011,
Jérôme et Laurent Triolet, Souterrains et croyances. Mythologie, folklore, cultes, sorcellerie, rites initiatiques, Éditions Ouest-France, 2002.
Vos réactions à cet article
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Bernard (29-04-2024 11:53:23)
Voir également la passionnante ville souterraine de Naours (près d'Amiens) que les villageois avaient creusée pour se protéger des incursions des Vikings. Elle comportait même...une prison !
Xuani (28-04-2024 19:47:56)
Article original, varié et tout à fait intéressant, merci!