La bataille d'Austerlitz, 2 décembre 1805, par le baron Gérard (commentaire)
La bataille d'Austerlitz, 2 décembre 1805, par le baron Gérard
Dans cette oeuvre réalisée en 181, aujourd'hui exposée au palais de Versailles, le baron Gérard a peint le moment où Napoléon reçoit à Austerlitz la reddition des généraux ennemis.
Le général Rapp lui apporte les drapeaux et les canons pris à l’ennemi et lui présente le prince Repnine entouré des prisonniers russes. Napoléon, sur son cheval blanc, Cyrus, ensuite rebaptisé Austerlitz, porte la tenue verte de colonel des chasseurs à cheval de la garde. Il est entouré du major général Berthier, de Bessières, commandant la cavalerie de la garde, de son aide de camp Junot, de Duroc et du colonel Lebrun, fils de l’architrésorier de l’Empire.
Au premier plan, selon la chronique, un mamelouk propose à l’Empereur de lui rapporter la tête du grand-duc Constantin. Ce à quoi Napoléon aurait répondu : « Veux-tu bien te taire, vilain sauvage ! » Un officier russe se plaint d’être déshonoré pour avoir perdu sa batterie. Et Napoléon de le consoler : « Calmez-vous, jeune homme, et sachez qu’il n’y a jamais de honte à être vaincu par des Français ».
La bataille d'Austerlitz, 2 décembre 1805, par le baron Gérard
Dans cette oeuvre réalisée en 181, aujourd'hui exposée au palais de Versailles, le baron Gérard a peint le moment où Napoléon reçoit à Austerlitz la reddition des généraux ennemis.
Le général Rapp lui apporte les drapeaux et les canons pris à l’ennemi et lui présente le prince Repnine entouré des prisonniers russes. Napoléon, sur son cheval blanc, Cyrus, ensuite rebaptisé Austerlitz, porte la tenue verte de colonel des chasseurs à cheval de la garde. Il est entouré du major général Berthier, de Bessières, commandant la cavalerie de la garde, de son aide de camp Junot, de Duroc et du colonel Lebrun, fils de l’architrésorier de l’Empire.
Au premier plan, selon la chronique, un mamelouk propose à l’Empereur de lui rapporter la tête du grand-duc Constantin. Ce à quoi Napoléon aurait répondu : « Veux-tu bien te taire, vilain sauvage ! » Un officier russe se plaint d’être déshonoré pour avoir perdu sa batterie. Et Napoléon de le consoler : « Calmez-vous, jeune homme, et sachez qu’il n’y a jamais de honte à être vaincu par des Français ».
