La reprise par l’Iran ce dimanche 7 juillet au matin de l’enrichissement de son uranium à un niveau prohibé par l’accord nucléaire de 2015 aura donc suscité un tollé mondial. Si on comprend l’inquiétude formulée par les dirigeants européens, France, Allemagne et Royaume Uni, on peut s’étonner de la virulence de leur réprobation qui les met, de fait, dans le camp du président américain qui a déclenché les hostilités avec l’Iran et menace la paix, écrit Sara Daniel...
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