Début 1857, la Royal Asiatic Society de Londres remet sous scellés aux Britanniques E. Hincks, W.H.F. Talbot, H.C. Rawlinson et au Français J. Oppert la copie d'une inscription en caractères cunéiformes du roi assyrien Tiglath-phalazar Ier, qui venait d'être découverte, afin qu'ils en réalisent une traduction chacun de leur côté. Le 25 mai 1857, une commission examine leurs travaux et déclare les traductions suffisamment concordantes pour que l'akkadien, langue de communication de la Mésopotamie du IVe au 1er millénaire av. J.-C., soit considéré comme enfin déchiffré.
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