Bouleversé par l'expérience des tranchées et de la Grande Guerre, l'écrivain Pierre Drieu la Rochelle en témoigne dans La comédie de Charleroi (1934). Anticlérical, libertin et fasciste, il adhère en 1936 au parti d'extrême-droite de Jacques Doriot, le Parti Populaire Français (PPF).
Pendant l'Occupation, il dirige la Nouvelle Revue Française (NRF), une prestigieuse maison d'édition, et prône la collaboration avec les nazis. À la Libération, il se donne la mort pour échapper à une condamnation.