Entre la célébration du centenaire 1914-1918 et celle des attentats du 13 novembre 2015, commémore-t-on trop et trop tôt ? L'historien Nicolas Offenstadt répond à Anna Breteau.
Il rappelle avec justesse que les commémorations ont une vertu civique et politique mais n'ont rien à voir avec la recherche historique... « La construction d'un rapport au passé à travers les commémorations était déjà d'actualité au Moyen Âge. » Et les commémorations peuvent s'appliquer à des événements récents : « Pendant la guerre 14-18, on commémorait déjà, notamment, la bataille de la Marne. »
En savoir plus avec Le Point
Vos réactions à cet article
Recommander cet article
Aucune réaction disponible