Jeanne d'Arc

À qui appartient la Pucelle ?

Paysanne illettrée, Jeanne d'Arc est sortie de l'anonymat à 17 ans et son destin public s'est accompli en à peine plus de deux ans, de février 1429 à mai 1431. En dépit de cette brièveté, elle demeure la figure la plus consensuelle et la plus troublante de l'Histoire de France. L'une des mieux connues aussi car les compte-rendus de ses deux procès sont parfaitement documentés et ne laissent aucune zone d'ombre sur sa courte vie.

Il n'empêche qu'elle aura attendu près de 500 ans pour être canonisée par l'Église catholique le 16 mai 1920. Cette décision du pape Benoît XV n'allait pas de soi en dépit de la foi incontestable de la Pucelle mais elle avait été souhaitée par la France unanime, tant catholique que laïque, républicaine et même anticléricale.

André Larané
Jules Michelet conteur sans égal

Jeanne Darc (Jules Michelet)Héroïne universelle, tant religieuse que patriotique, républicaine, populaire, voire anticléricale, Jeanne d'Arc doit une grande part de sa popularité au récit de l'historien Jules Michelet. « Quelle légende plus belle que cette incontestable histoire ? » écrit-il dans l'épilogue (1841). Nous offrons ce beau récit d'une centaine de pages aux Amis d'Herodote.net dans une version numérique enrichie de nombreux hors-textes, illustrations en couleur, liens et cartes. 

Une héroïne consensuelle

Affiche américaine pour la souscription aux emprunts de guerre (1914-1918)De fait, la réputation de Jeanne d'Arc, paysanne modeste, femme de foi et résistante exemplaire, transcende les classes sociales et dépasse très largement les frontières de l'Hexagone.

L'Église, bien sûr, honore la croyante tandis que les anticléricaux se sont appropriés la victime d'un odieux évêque et de l'Inquisition. Les monarchistes apprécient la fidélité de Jeanne envers le roi et les républicains le fait que le pays ait pu être sauvé par une fille issue du peuple bien que son roi l'ait abandonnée. Les féministes respectent une femme qui s'est imposée dans un milieu viril sans cesser d'être elle-même.

Par-dessus tout, Jeanne d'Arc est encensée comme le symbole de la résistance à l'oppression jusqu'en Russie et en Corée. Sans rancune, les Anglo-Saxons qu'elle a combattus l'ont eux-mêmes érigée en symbole de résistance nationale pendant la Grande Guerre de 1914-1918 (note).

Une source d'inspiration artistique

Maria Falconetti dans La Passion de Jeanne d'Arc (Carl Theodor Dreyer, 1928)En marge des péripéties politiques et religieuses, la Pucelle n'a jamais cessé de séduire les artistes et les écrivains. Le poète Schiller lui a consacré une pièce en vers en 1801. 

En 1910, le poète Charles Péguy publie une pièce de théâtre quelque peu ésotérique : Le Mystère de la charité de Jeanne d'Arc, dans laquelle fusionnent les vertus évangéliques et patriotiques. À la même époque, George Bernard Shaw et Mark Twain lui consacrent aussi qui une pièce, qui un livre.

Le Danois Carl Theodor Dreyer réalise un chef d'œuvre du cinéma expressionniste muet : La passion de Jeanne d'Arc (1928). Un quart de siècle plus tard, le cinéaste français Robert Bresson aura moins de chance. Son procès de Jeanne d'Arc (1954), d'une très belle esthétique, survient au moment où la Pucelle est en défaveur dans l'opinion. On sort de la Seconde Guerre mondiale, époque durant laquelle le gouvernement de Vichy avait tenté de la récupérer dans la lutte contre les Anglais...

Jeanne d'Arc par Odilon Redon

Une réhabilitation tardive

Mue par une foi naïve et ô combien puissante, Jeanne d'Arc voyait dans le roi de France le représentant de Jésus sur terre. Par la vigueur de ses convictions, elle a fait émerger un sentiment patriotique dans une France qui n'était encore qu'un assemblage de provinces féodales unies par leur commune fidélité à la monarchie - un peu comme l'actuel Royaume-Uni de Grande-Bretagne et d'Irlande.

Dans la France en crise du début du XVe siècle, Jeanne d'Arc n'était pas un cas isolé. La chronique évoque différentes personnes qui, comme elle, se disaient investies par Dieu pour sauver le malheureux royaume. L'une des plus connues est Catherine de la Rochelle. Elle eut le tort d'intervenir alors que Jeanne d'Arc était déjà en selle. Celle-ci l'a rencontra à la demande de Charles VII et ne se fit pas faute de la récuser.

Portée par son énergie, sa foi et son intelligence, dont attestent les minutes de ses procès, Jeanne d'Arc a donc eu la chance d'être agréée par le roi et ses compagnons d'armes. Telle une mascotte divine, elle leur a rendu confiance et les a conduits de victoire en victoire.

Le blason de la famille d'ArcEn reconnaissance de son action, elle fut anoblie ainsi que sa famille par Charles VII le 24 décembre 1429 (son nom, Darc, est dès lors devenu d'Arc). Mais c'est seulement un quart de siècle après sa mort que son rôle a été pleinement reconnu. Le pape Calixte III, à l'initiative de la mère de Jeanne, a constitué à Rouen un tribunal ecclésiastique destiné à réexaminer les conditions du premier procès.

Les juges ont vu défiler à la barre des centaines de témoins, compagnons d'enfance et compagnons d'armes de Jeanne. Tous furent unanimes à célébrer sa piété, sa vertu et la force de ses convictions... En foi de quoi, le 7 juillet 1456, les juges déclarèrent le procès de 1431 « entaché de vol, calomnie, iniquité ». C'est le seul cas dans l'Histoire de l'Église où celle-ci a accepté de se déjuger.

Une héroïne de tous les siècles

Christine de Pisan, première femme qui se soit vouée à l'écriture, dédia à Jeanne quelques vers de son vivant. Mais le plus bel hommage littéraire lui vint de François Villon. Né en 1431, l'année même de la mort de Jeanne, il en évoque le souvenir dans la belle Ballade des Dames du temps jadis :
Et Jeanne, la bonne Lorraine
Qu'Anglais brûlèrent à Rouen ;
Où sont-ils, où, Vierge souveraine?
Mais où sont les neiges d'antan ?

Le souvenir de Jeanne va se maintenir sans interruption jusqu'à nos jours en maints endroits de France. À Domrémy, sa maison natale ou ce qui en reste devient même un lieu de pèlerinage. C'est ainsi que Montaigne la visite en 1580 lors d'un voyage : « Domremy, sur Meuse, à trois lieues dudit Vaucouleur, d'où estoit natifve cette fameuse pucelle d'Orléans, qui se nommoit Jane d'Arcq ou Dullis. Ses descendants furent anoblis par faveur du roi; et nous monstrarent les armes que le roi leur donna, qui sont d'azur à un' espée d'or au costé de ladite espée ; dequoy un receveur de Vaucouleur donna un escusson peint à M. de Caselis. Le devant de la maisonnette où elle naquit est toute peinte de ses gestes; mais l'aage en a fort corrompu la peinture. Il y a aussi un arbre le long d'une vigne qu'on nomme l'Arbre de la Pucelle, qui n'a nulle autre chose à remarquer. »

Jeanne d'Arc en prière, par Pierre-Paul Rubens, 1620, Musée de Caroline du Nord

À Orléans, les habitants, de génération en génération, cultivent le souvenir de leur délivrance. Tous les ans ou presque depuis six siècles, ils la célèbrent le 8 mai. 

Au début du  XVIIe siècle, Jeanne d'Arc apparaît aussi dans une pièce de Shakespeare, Henry VI. Mais le dramaturge anglais n'est pas un cas isolé ; l'historien Olivier Bouzy, directeur du Centre Jeanne d'Arc (Orléans), a en effet recensé tous les livres qui font référence à la Pucelle. En moyenne un à deux par an depuis sa naissance ! 

Rubens, grand peintre du baroque et de la  Contre-Réforme catholique, nous offre une peinture de Jeanne d'Arc en prière. C'est l'une des très rares représentations de Jeanne d'Arc d'avant le XVIIIe siècle. 

À la même époque, un poète quelque peu oublié, Jean Chapelain (1595-1674) célèbre l’héroïne dans un poème plein d’enflure : La Pucelle ou la France délivrée.
Je chante la Pucelle et la sainte vaillance,
Qui dans le point fatal, où périssait la France,
Ranimant de son roi la mourante vertu,
Releva son État sous l’Anglais abattu.
Le Ciel se courrouça, l’Enfer émit sa rage,
Mais elle, armant son cœur de zélé et de courage,
Par sa prière ardente, au milieu de ses fers,
Sut et fléchir les Cieux et dompter les Enfers (…).

En haut lieu toutefois, la Pucelle n'est guère appréciée. Elle est en grande défaveur à la cour du Roi-Soleil qui admet mal qu'une fille du peuple ait pu sauver sa dynastie et surtout appelé à la résistance contre un envahisseur. Louis XIV, roi guerrier et conquérant, ne veut pas offrir un si détestable exemple aux Allemands qui subissent sa domination.

La Pucelle classée « X »

Au milieu du XVIIIe siècle, Voltaire offre à Jeanne d’Arc une popularité inattendue et dont sans doute elle se serait passée. L’incorrigible séducteur, ayant eu connaissance de l’œuvre de Chapelain, en écrit une parodie libertine à usage privé, pour amuser les femmes de son entourage. Pour le grand public, il  publie aussi une version édulcorée, La Pucelle, qui va recueillir un vif succès. Extrait de la première version :
L'âne plus fou revint vers la Pucelle
Jeanne s'émut ; ses sens furent charmés
Les yeux en feu : par saint Denis, dit-elle
Est-il bien vrai, monsieur, que vous m'aimez
Si je vous aime, en doutez-vous encore ?
Répondit l'âne, oui mon cœur vous adore
Ciel ! que je fus jaloux du cordelier
Qu'avec plaisir je servis l'écuyer
Qui vous vengea de la fureur claustrale
Où s'emportait la bête monacale
Mais que je fus plus jaloux mille fois
De ce bâtard, de ce brutal Dunois.

N'en déplaise à Voltaire, c'est aussi à son époque que Jeanne d'Arc prend une dimension proprement nationale. « Au milieu du XVIIIe siècle, sous le règne de Louis XV, la monarchie perd du prestige et l'on commence à chercher d'autres symboles que le roi pour représenter la Nation, commente Olivier Bouzy. C'est ainsi qu'émerge la figure de Jeanne d'Arc. Fréquemment représentée sous forme de gravures, elle va inspirer sous la Révolution la figure de Marianne, symbole de la République française »

Récupérations partisanes

Après la Révolution française, le parti monarchique ravive le souvenir de la bonne Lorraine qui ne désespéra jamais du retour de son roi !

Jeanne d'Arc est aussi récupérée par les prophètes de la « France éternelle », en premier lieu le grand historien républicain de l'époque romantique Jules Michelet qui lui consacre une centaine de pages de son Histoire de France en 1841. Républicains et patriotes exaltent dès lors celle qui donna sa vie pour la Patrie.

[Voir l'image en grandes dimensions]
De 1842 à 1849, l'archiviste Jules Quicherat, élève de Michelet, publie les volumineux comptes-rendus du procès de Jeanne d'Arc : Procès de condamnation et de réhabilitation de Jeanne d'Arc. Ils attestent de la grandeur d'âme et la foi simple et solide de la jeune paysanne. Celle-ci n'est plus seulement perçue comme une héroïne nationale et une résistante mais aussi comme une authentique sainte. C'est ainsi qu'elle est représentée, avec une auréole, en 1854, par le peintre Jean-Dominique Ingres.

L'évêque d'Orléans, Mgr Félix Dupanloup, également séduit et bouleversé par les comptes-rendus du procès, affirme publiquement en 1855 que Jeanne d'Arc a agi selon la volonté divine. Soucieux de réconcilier la France libérale avec la foi chrétienne, il demande en 1869 au pape Pie IX d'entamer son procès de canonisation.

Après bien des vicissitudes, l'héroïne est béatifiée par le pape Pie X cinquante ans plus tard, le 18 avril 1909. La démarche est bien perçue par les dirigeants anticléricaux de la IIIe République, soucieux de mettre un terme à la querelle civile née de la loi de séparation des Églises et de l'État de 1905.  Près de trente mille églises se dotent d'une statue de la bienheureuse.

Après la Grande Guerre de 1914-1918 qui a scellé l'union de tous les Français dans les tranchées, Jeanne est enfin canonisée par le pape Benoît XV le 16 mai 1920 (dans l'Église catholique, la canonisation est, après la béatification, le deuxième et dernier stade vers la reconnaissance de la sainteté).

Un mois plus tard, le 24 juin 1920, la Chambre « Bleu horizon » officialise la « fête Jeanne d’Arc, fête du patriotisme ». Selon ce texte, « la république française célèbre annuellement » cette fête, qui se déroule « le deuxième dimanche de mai, jour anniversaire de la délivrance d’Orléans » (la fête a été plus tard transférée au 8 mai).

Genèse d'une loi mémorielle

Fabrice Madouas rappelle dans la revue Église de Rouen (printemps 2020) la curieuse genèse de la loi qui institue la fête de Jeanne d'Arc. Voici son témoignage que nous avons pu reproduire avec son aimable autorisation :

On a fait de Maurice Barrès, député de Paris et chantre de la patrie, le père de cette loi. Ce n’est qu’à moitié vrai car l’auteur du Roman des déracinés a repris une idée depuis longtemps débattue. Il faut remonter en effet à 1894 pour en trouver l’écho dans les annales du Parlement, le 8 juin. Ce jour-là, les sénateurs discutent une proposition de loi de Joseph Fabre, élu radical de l’Aveyron. C’est ce texte qui, déposé par la gauche, sera repris par la droite après la Première Guerre mondiale et finalement voté par les deux camps.

Que dit Joseph Fabre en 1894 ? Ne voulant pas abandonner Jeanne à l’Église, il la présente comme la « fille du peuple » qui la connut et reconnut sienne grâce aux travaux d’historiens comme Jules Michelet : « Ce sont des républicains principalement qui ont petit à petit fait pénétrer dans le pays le culte de Jeanne d’Arc », qui chevauche dans son discours au côté des soldats de l’an II. « Les Hoche et les Marceau nous ont fait comprendre la grande héroïne, et sa renommée a grandi à proportion que grandissait en France le sentiment populaire du patriotisme. »

Sa proposition de loi est votée par le Sénat mais il faudra vingt-six ans – et rien moins qu’une guerre mondiale – pour qu’elle soit examinée par la Chambre des députés.

Que dit Maurice Barrès en 1920 ? « Il n’y a pas un Français, quelle que soit son opinion religieuse, politique ou philosophique, dont Jeanne d’Arc ne satisfasse les vénérations profondes. Etes-vous catholique ? C’est une martyre et une sainte que l’Eglise vient de mettre sur les autels. Etes-vous royaliste ? C’est l’héroïne qui a fait consacrer le fils de Saint Louis par le sacrement gallican de Reims. Pour les républicains, c’est l’enfant du peuple qui dépasse en magnanimité toutes les grandeurs établies […]. Ainsi, tous les partis peuvent se réclamer de Jeanne d’Arc. Mais elle les dépasse tous. Nul ne peut la confisquer. » La proposition fut adoptée à main levée, sans aucun débat. Jeanne avait fait taire les querelles.

Fabrice Madouas
Bibliographie

Au milieu d'une surabondante bibliographie, le plus beau récit consacré à Jeanne d'Arc demeure celui de Jules Michelet (Livre X, tome V de son Histoire de France). À noter aussi la très accessible biographie écrite par Régine Pernoud (nombreuses rééditions depuis 1959). On peut enfin se rapporter à la biographie savante de Colette Beaune, Jeanne d'Arc, vérités et légendes (Perrin, 2004) qui fait référence. Sa lecture suppose que l'on connaisse déjà bien le parcours de l'héroïne. 

Sur le procès et les textes de l'épopée, on peut se référer au livre de Georges Andrée Duby : Les procès de Jeanne d'Arc (Gallimard, 1973).

À noter encore le livre iconoclaste de Roger Caratini : Jeanne d'Arc, de Domrémy à Orléans et du bûcher à la légende (Archipel, 1999, 139F). Sur le rôle méconnu de Yolande d'Aragon, il faut lire le passionnant ouvrage de Philippe Erlanger : Charles VII et son mystère (1945, Gallimard, édité en livre de poche).

Au cinéma, on peut se dispenser de voir le film de Luc Besson consacré à Jeanne d'Arc mais, à condition d'aimer la sobriété scandinave, on ne doit pas passer à côté de La passion de Jeanne d'Arc du Danois Carl Theodor Dreyer (1928) ni du Procès de Jeanne d'Arc de Robert Bresson (1954).

On évitera le documentaire vidéo de Martin Meissonnier pour Arte : Vraie Jeanne, fausse Jeanne, condensé de toutes les bêtises racoleuses sur le sujet.

Idolâtrie et fadaises en tous genres

La ferveur parfois excessive qui a entouré Jeanne d'Arc aux XIXe et XXe siècles s'est traduite par pléthore d’œuvres naïves et académiques dans le style « troubadour » ou « saintsulpicien » éloignées de la réalité comme ci-dessous (ainsi Jeanne n'a-t-elle sans doute jamais gardé les moutons).

Ces excès d'idolâtrie ont provoqué par réaction des délires non moins ridicules. C'est ainsi qu'après 1815, quelques plumitifs ébauchèrent des théories fumeuses qui trouvent encore des partisans aujourd'hui. Ces théories, qui ne reposent sur rien de précis, sont de deux ordres ainsi que l'explique Olivier Bouzy :
• Le soupçon de bâtardise : comme il est difficile d'admettre qu'une paysanne ait pu sauver la monarchie, on « démontre » que Jeanne serait la fille cachée d'Isabeau de Bavière,
• La survivance : pour contrarier la procédure de canonisation, on avance que Jeanne aurait échappé au bûcher et se serait banalement mariée. Cette thèse s'appuie sur l'apparition d'une usurpatrice, Claude des Armoises, entre 1436 et 1456. Mariée à un vassal du duc de Bar, elle prétend être Jeanne et réclame de l'argent en conséquence. Elle est présentée au roi qui lui pose des questions précises auxquelles elle est incapable de répondre et, dès lors, ne fait plus parler d'elle.

Publié ou mis à jour le : 2020-05-17 11:54:44

Voir les 5 commentaires sur cet article

Christian (13-12-2022 13:40:22)

Ceux qui soutiennent la thèse de la «survivance» s’appuient en partie (mais en partie seulement) sur des faits établis, et plus particulièrement sur l’existence d’une certaine Claude du Lys... Lire la suite

Huc (09-05-2016 02:12:31)

Reste que ce que cet article dénomme "la bâtardise" n'a en soi rien d'absurde, au contraire. Au demeurant, l'utilisation du terme "bâtardise", à connotation péjorative pour désigner une double o... Lire la suite

Pierre Brivot (08-05-2016 21:57:34)

Le paragraphe ‘Bibliographie’ met en colère : comment ne pas citer les ouvrages de Régine Pernoud concernant Jeanne ? Comment parler de Roger Caratini, communiste notoire, dont on ne peut qu’a... Lire la suite

Respectez l'orthographe et la bienséance. Les commentaires sont affichés après validation mais n'engagent que leurs auteurs.

Actualités de l'Histoire
Revue de presse et anniversaires

Histoire & multimédia
vidéos, podcasts, animations

Galerie d'images
un régal pour les yeux

Rétrospectives
2005, 2008, 2011, 2015...

L'Antiquité classique
en 36 cartes animées

Frise des personnages
Une exclusivité Herodote.net